1. Vous auriez pu vous raser


    Datte: 09/11/2018, Catégories: fh, couple, fépilée, sexshop, fsoumise, noculotte, fgode, pénétratio, fsodo, sm, attache, baillon, yeuxbandés, fouetfesse, Auteur: Damien, Source: Revebebe

    ... :
    
    — D’accord, mon amour. Ton vilain gros lourd de mari est vraiment un con. Je respecte ton choix. Si tu veux, je peux demander à Thierry de s’occuper de tes demi-jambes et des aisselles ? Et puis avec cette méthode, tu sais, ce n’est pas comme avec une épilation classique. Quand le poil repousse, il est moins dur, moins gros.
    
    Il ne se désarme pas le bougre.
    
    — On verra ça plus tard !
    
    Comme qui dirait, la semaine des quatre jeudis.
    
    Une semaine s’est passée, et Damien n’est pas encore revenu à la charge avec l’épilo-laser de Darth-Vador. J’étais prête à parier que la rediffusion allait bientôt avoir lieu. D’un autre côté, ses remarques avaient tout de même réussi un travail de sape. En effet, depuis plusieurs jours, en prenant ma douche, j’observe mes cuisses, et c’est vrai qu’au-dessus du genou, j’ai maintenant des poils plus gros, plus sombres et plus longs qu’il y a dix ans. La faute aux esthéticiennes qui à chaque séance, malgré mes remarques, montent toujours plus haut et dépassent le genou. À force, les poils repoussent plus drus. Tant qu’à faire les jambes, pourquoi pas les faire complètement ? Mais bon, je ne vais pas lui avouer ça, ou alors je déclare échec et mat tout de suite.
    
    Deux soirs plus tard, bingo, l’empire contre-attaque. Il sait y faire mon bougre de mari. Il est d’abord monté dans la chambre avant moi. D’habitude, il m’attend toujours pour se mettre au lit, et là, la lumière était éteinte, même pas de lampe de chevet d’allumée.
    
    « ...
    ... Sympa » pensai-je.
    
    Alors que ma main va chercher l’interrupteur, derrière la porte entrebâillée, Damien arrive dans mon dos et me met un bandeau sur les yeux.
    
    Docile, je me laisse faire. J’adore ça, quand il devient maître du jeu. Je sens quelque chose de froid bloquer mes poignets : une chaîne. Au clic, je pense qu’il a dû mettre un mousqueton pour la refermer. D’habitude c’est une ceinture de peignoir que j’arrive toujours à enlever, mais là, je vais avoir du mal, je suis bien coincée. C’est donc les mains attachées par-devant qu’il m’entraîne par la chaîne vers le lit.
    
    Non, pas le lit, c’est notre fauteuil en velours que je rencontre. Avec un léger coup de cravache sur les fesses, il me fait mettre à genoux sur le fauteuil. Je le sens monter sur quelque chose, sûrement la chaise où il pose ses affaires, et mes bras sont tirés vers le haut. Il y a quelques années, il avait discrètement mis un anneau dans la poutre du plafond à cet endroit et il doit être en train de m’y attacher. Ça y est, je suis les bras en l’air, avec très peu de mou.
    
    Comme c’est le week-end, je suis restée toute la journée sans culotte sous ma mini-jupe portefeuille, uniquement pour son bonheur. Ces quelques préparatifs en plus, je sens maintenant ma chatte couler le long de ma cuisse.
    
    Il passe dans mon dos, me fait poser un pied à terre et l’autre sur le coussin du fauteuil. Alors que je suis ainsi fendue, les doigts de sa main droite sont en train d’explorer mon joyau sous ma jupe et ...
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