Je suis un jouet entre ses mains (11)
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: donico, Source: Xstory
... moi sans perdre de temps. C’est donc ça qu’il avait fait tout à l’heure : retiré son caleçon ! Le fourbe...
Il me pénètre d’un coup sec, puis il me pilonne à toute vitesse, sans prendre de gants. Il me relève légèrement pour m’attraper les seins, puis il les presse pendant qu’il s’active en moi. Ses doigts jouent un peu avec mes tétons, puis ils reprennent un malaxage en règle. Il insère alors un doigt dans ma bouche et me baise comme une chienne. « François, je suis ta sœur ! » ai-je envie de lui crier, mais je n’en fais rien parce que j’aime ça...« Mais qu’est-ce que je suis devenue ? »
Soudain, il se retire et me retourne de force.
— Non ! lancé-je en me débattant.
Mais il est trop fort pour moi, et il se réinsère en me regardant bien droit dans les yeux.
— Regarde-moi bien, dit-il en me pilonnant. Je suis ton frère. C’est ton petit frère qui te baise.
Je ferme les yeux, mais je ne peux éviter d’entendre :
— T’es trop bonne, sœurette ! Si tu savais depuis combien de temps j’ai envie de toi...
Ces mots me blessent. Notre relation ne sera plus jamais la même, ce qui m’attriste. Comment peut-il dire de telles choses ? Les pense-t-il vraiment ?
Soudain, l’orgasme commence à le gagner, ce qui n’adoucit pas les mots qui sortent de sa bouche :
— T’aimes sentir la grosse queue de ...
... ton petit frère ? T’en fais pas, c’est pas la dernière fois ! Je reviendrai te baiser tous les jours, c’est vraiment trop bon ! J’ai jamais vu une salope comme toi !
— François, c’est moi ! ai-je encore envie de hurler. Mais il le sait bien. C’est d’ailleurs ce qui l’excite autant.
Enfin, il éjacule en moi, de longs jets bien chauds.
— Ah... putain, c’est trop bon ! T’es une salope sœurette, un vrai sac à foutre ! Vide bien ton petit frère, n’en laisse pas une goutte !
Je décide de jouer le jeu jusqu’au bout.
— Oh oui, remplis-moi bien, engrosse-moi ! J’aime quand tu me défonces la chatte, petit frère. Je suis une salope, j’adore ça ! J’ai toujours voulu que tu me prennes...
Il me presse les seins à me faire mal. Le plaisir le submerge à tel point qu’il semble à deux doigts de s’évanouir. Je ne pensais pas que l’inceste l’excitait à ce point ! Des larmes apparaissent même aux commissures de ses yeux lorsqu’il livre ces derniers mots, empreints de poésie :
— T’es trop bonne, salope... Salope... Salope...
Il s’effondre sur moi, vidé dans tous les sens du terme.
Je l’embrasse sur le front, puis je prends le temps de me demander jusqu’où je vais descendre. Y a-t-il une limite à la déchéance ?
Thomas, qui n’en a pas raté une miette, me lance un clin d’œil.
« Manifestement non. »