Je suis un jouet entre ses mains (11)
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: donico, Source: Xstory
... A-t-il profité un peu de la vue ? », Mais il revient vite et reprend son massage. Le dos d’abord, puis de plus en plus largement les fesses, qu’il malaxe. J’aime bien, d’ailleurs.
Au bout de quelques minutes, ses mains descendent sur mes cuisses. Il me les écarte légèrement. Je sais qu’il voit tout de moi, mais je ne trouve toujours pas la force de le repousser. Ses doigts se rapprochent alors de nouveau de ma vulve. Par petites touches, il vient buter contre elle, puis il la caresse légèrement. Bientôt, son index coulisse le long de la fente qui est trempée. Il est venu progressivement, et je n’ai pas su l’arrêter. Il joue avec mon clitoris, l’agace légèrement. Je ne peux retenir des gémissements.
Soudain, son autre index se présente à l’entrée de mon vagin, puis il pousse légèrement pour le pénétrer. Je suis au bord de la jouissance. J’oublie totalement que c’est mon frère qui me prodigue ce fabuleux traitement.
Mais brusquement, il arrête tout.
— Qu’est-ce que tu fais ? demandé-je.
Je prends conscience une seconde trop tard que ma phrase vient de sceller mon abandon.
— Tu as raison ; ce n’est peut-être pas bien... me dit-il perfidement.
— On ne fait rien de mal, réponds-je, reprenant son argumentaire.
Il est allé trop loin : je veux qu’il continue !
— Tu es sûre qu’on peut ? insiste-t-il en reprenant ses caresses sur mon clitoris.
— Oh oui ! lâché-je, rendue folle par ses caresses. Oui, on peut !
— Mais tu es ma sœur...
Tout en disant ...
... cela, il m’insère un doigt dans le vagin en titillant mon bouton de plaisir.
— On ne peut quand même pas aller trop loin...
— On ne fait rien de mal, je répète.
— Mais je devrais peut-être arrêter ?
Ses caresses se font plus intenses que jamais. Il me cherche, le salaud !
— Qu’est-ce que tu veux entendre ? lui demandé-je.
— Tu le sais bien, lâche-t-il.
Oui, je le sais. Mais pourrai-je le dire ? Rien n’est moins sûr.
Soudain, sa langue se pose sur mon clitoris, électrisant tout mon corps. Il me lèche avec douceur, mais aussi avec une lenteur excessive. Il le fait exprès pour me rendre folle de désir, alors je cède :
— Baise-moi !
— Quoi ? demande-t-il en faisant mine de ne pas comprendre.
— Je veux que tu me fasses l’amour.
Il me lèche encore un peu.
— Tu sais qui je suis ?
— Oui.
Nouveau coup de langue. Je n’en peux plus, je veux son sexe en moi.
— Dis-le.
— Tu es mon frère. Mon petit frère François. Et je veux que tu me baises, là maintenant. Pitié, petit frère, baise-moi !
Je ne me rends pas compte de ce que je suis en train de dire, je deviens complètement folle. Mais les mots sortent sans que je ne puisse les retenir.
— Avec plaisir, sœurette.
Il fait alors mine de me retourner pour me prendre de face, mais je ne peux pas : j’ai besoin de croire que ce n’est pas lui.
— Non, par-derrière, s’il te plaît. Ce serait trop dur autrement.
— OK, ça me va, cède-t-il sans faire d’histoires.
Il s’engouffre alors en ...