-
Chantage : Jour 1
Datte: 09/11/2018, Catégories: fhhh, inconnu, parking, fsoumise, Auteur: Carole M, Source: Revebebe
... raidir comme du roc dans ma bouche. Si le défi avait été de le faire jouir dans la minute, je pense que je l’aurais gagné. Il ne me restait plus qu’à baisser le rythme pour le maintenir ainsi pendant les longues minutes qui restaient. Mon rythme est alors devenu beaucoup plus lent, je me contentais d’offrir à sa queue un joli fourreau bien humide et bien chaud. De temps en temps j’ouvrais grand la bouche et je tenais sa queue juste au-dessus de ma langue en le masturbant légèrement, comme pour l’inviter à éjaculer sur ma langue. Je le titillais en prenant soin de bien gérer son point de non-retour. Lorsque Loïc « redescendait », je reprenais de l’amplitude pour l’avaler entièrement et déposer mes lèvres contre ses bourses. Sa queue se tendait alors à nouveau au maximum pour me remplir entièrement la bouche et s’enfoncer un peu plus loin dans ma gorge. Dans cette position, avec le nez collé contre son ventre et son sexe entier dans ma bouche, j’avais du mal à respirer. Mais je savais que je devais attendre avant de pouvoir remonter lentement. Je devais attendre sans bouger pour qu’il n’explose pas dans ma bouche… avant de remonter en l’aspirant à fond pour l’inviter à nouveau à éjaculer. Je me suis amusée à varier ainsi le rythme pendant le temps demandé, tandis que Loïc était complètement absorbé par ma fellation, les yeux fermés et le corps aussi tendu que sa queue, attendant la délivrance. Lorsqu’on est entrés dans la quinzième minute j’ai sorti Loïc de sa transe pour ...
... lui montrer de nouveau l’heure, puis j’ai resserré mes lèvres et j’ai accéléré radicalement le rythme en utilisant toute l’amplitude de sa queue. J’avais eu tout le temps nécessaire pour régler mes mouvements et exploiter bien à fond sa queue. Je suis remontée jusqu’à son gland avant de redescendre bien à fond contre ses couilles. Il n’était plus question de laisser à Loïc une seule seconde de répit et les premières giclées ont frappé mon palais bien avant la fin de la minute fatidique. J’ai alors enserré sa queue et j’ai attendu que Loïc finisse de jouir dans ma bouche avant de le libérer. Je l’ai ensuite fixé, la bouche encore pleine de son foutre chaud, et j’ai attendu qu’il réagisse, assez fière de moi. LUI : Carole suçait divinement bien. Elle avait réussi l’épreuve de la fellation minutée avec brio, j’allais dire haut la main, mais dans le cas présent sa main était plutôt restée en bas. Je la regardais me finir et aspirer les dernières gouttes de ma semence avec une délectation non dissimulée. Elle avait largement mérité son bonbon blanc… Sa fellation m’avait mis l’eau à la bouche… et ce n’était pas moi qui avais la bouche pleine ! Mon imagination fourmillait. Non seulement Carole semblait se plier à la lettre à mes exigences, mais en plus elle en retirait un plaisir qu’elle avait du mal à dissimuler. Je me sentais pousser des ailes. J’avais envie de la prendre, de la baiser comme une chienne. J’ai retiré mon jean et mon caleçon, et je l’ai retournée pour ...