Chantage : Jour 1
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
parking,
fsoumise,
Auteur: Carole M, Source: Revebebe
... Elle avait la peau blanchâtre, la silhouette fine et élancée, les seins massifs et rebondis. Je fantasmais dur. Le classement chronologique montrait une montée progressive de la soumission et de l’érotisme. De son arrivée, dans une tenue déjà sulfureuse, à son effeuillage complet, la femme restait masquée. Son visage ne se dévoilait que lorsqu’elle devait se démasquer pour sucer un des protagonistes. La photo était lointaine et de 3/4 arrière, mais on distinguait sa chevelure ainsi qu’une faible partie de son visage. Sa ressemblance avec Carole était de plus en plus troublante. J’ai continué à rapidement feuilleter le diaporama et là j’ai cru vivre un rêve éveillé. Il n’y avait plus de doute possible, c’était bien Carole, ma nouvelle directrice. J’ai arrêté net de me masturber et je suis resté pétrifié devant sa photo, bouche bée. Je suis peut-être resté trente secondes sans bouger, sans rien faire, et là il se produisit une chose exceptionnelle : j’étais en train d’éjaculer sur mon clavier et mon écran sans aucune stimulation physique.
Je ne réfléchissais plus. D’instinct, j’ai enregistré le diaporama et je l’ai envoyé sur ma boite pro. J’ai essuyé l’écran et mon clavier, je me suis couché et je me suis endormi quasi instantanément, libéré des tensions de ces dernières semaines.
J’allais joindre l’utile à l’agréable, je me sentais le maître du monde, je sentais pour la première fois que je la dominais et Dieu que c’était bon…
Le lendemain je n’ai rien fait au ...
... boulot. Ce reportage affolait mes sens et je n’ai pas débandé de la journée. Je suis resté assis à attendre d’être seul pour la mater discrètement. J’adore cette photo où on la voit nue en levrette, les seins tombants, avec son visage maculé de sperme et qui fixe l’objectif.
ELLE :
Cela ne pouvait plus durer. Depuis mon arrivée Loïc était d’un piètre soutien alors que j’avais besoin de lui pour prendre en main l’agence. Pour combler le tout voilà maintenant qu’il me narguait en me regardant bosser toute la journée pendant qu’il gobait les mouches. On me l’avait pourtant vendu comme un excellent collaborateur, sur lequel je pouvais m’appuyer. Il était temps qu’on ait une sérieuse discussion.
Je suis entrée dans son bureau avec la ferme intention de mettre les points sur les "i", et j’ai trouvé ce salaud en train de mater des photos de cul sous mon nez alors que je pouvais le surprendre à tout moment. Je ne parle pas d’une simple midinette qui pose pour Playboy, on en était même très loin. L’écran partiellement masqué par l’épaule de Loïc affichait une scène vraiment obscène, avec une salope qui se faisait copieusement baiser, bien en premier plan et plusieurs mecs qui se masturbaient en attendant leur tour au second plan.
Je me suis approchée pour lui passer le savon de sa carrière et, arrivée à sa hauteur, j’ai été stoppée net. La salope qu’il matait en train de se faire copieusement baiser… c’était moi, bien en gros plan.
J’ai dû rester figée une bonne minute avant ...