1. Une Prof Fan de Sodo ? (1)


    Datte: 09/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: SecCom, Source: Xstory

    ... pareille.
    
    Elle saisit mon paquet à travers mon pantalon, avant de continuer à me parler, mais cette fois en chuchotant dans mon oreille.
    
    — Je suis prof, j’en ai vu des jeunes, aucun ne m’avait excité, mais alors toi.
    
    Je restais bouche bée, tandis qu’elle commençait à m’embrasser dans le cou et à descendre lentement. Sa main glissait sur mon torse. Elle était à genoux en train de me retirer mon pantalon. Je savais que je bandais beaucoup trop, et que lorsqu’elle allait me retirer mon caleçon, elle se prendrait une bifle énorme sans que je puisse rien faire. Je n’en pouvais plus, mais une pulsion m’envahit.
    
    — A-A-Attendez.
    
    Elle me regardait avec des yeux de chien battu.
    
    — Désolé Madame, mais je n’en ai trop envie.
    
    Je la saisis par les dessous de bras et la releva d’un coup, elle entoura ses jambes autour de ma taille. Je la regardais dans les yeux, et enfin je l’embrassai. Ses lèvres, sa langue, tout était excellent. Je m’arrêtai de l’embrasser seulement pour pouvoir reprendre mon souffle. Sur le moment, je ne voulais plus rien gouter d’autre de ma vie que ses lèvres.
    
    — Vos lèvres ont un goût exquis.
    
    — Merci, tu es gentil, et pour ça je vais te remercier, d’une excellente façon. Repose-moi par terre.
    
    Je m’exécutais. Elle baissa le caleçon pour me libérer, mais elle se mangea une biffle en plein dans les dents.
    
    — Tu as aimé ma langue et mes lèvres, tu vas aimer ce qui va venir.
    
    Elle posa la main sur mon chibre, sortit sa langue comme un ...
    ... serpent, et vint titiller mon gland. Mes yeux firent 15 tours tellement c’était bon, je ne fus pas loin de crier. Et là, ses lèvres arrivèrent. Un pur délice, ces allers-retours étaient divins. Jamais je n’avais connu ça. Au bout de 5mins, je ne fus pas loin de lancer la sauce. Je la prévins et elle arrêta de suite. Elle s’assied sur une des tables, je la regardais un peu incrédule, elle souleva sa robe, retira sa culotte, et me regarda dans les yeux. Elle prit son pied droit botté pour venir appuyer sur mon front, me forçant à m’agenouiller. Elle mit ses bottes autour de mon cou et me força à me rapprocher de sa chatte. Avant d’attaquer, je m’excusais.
    
    — Pardon madame, mais je ne pourrai pas vous donner autant de plaisir que vous m’en avez donné.
    
    — Tais-toi, et lèche ! me dit-elle en appuyant avec ses bottes de façon à ce que je lèche.
    
    J’étais parti, et j’avais l’impression d’avoir plus de plaisir qu’elle malgré ses gémissements. Je massais ses petits seins également. Tout en elle était bon.
    
    — Je pourrais vous embrasser et vous léchez jusqu’à la fin de la vie. Tout est succulent en vous.
    
    — Tout est bon dans la cochonne.
    
    Je sentis l’étreinte de ses bottes s’amoindrir.
    
    Elle me tira les cheveux pour que j’arrête, me cracha au visage, et me lâcha.
    
    — Tu vas me remplir comme jamais, je veux que toutes les salles de cours m’entendent.
    
    J’avais de la pression. Elle s’installa comme elle le voulait, c’est à dire, les avant-bras sur la table, penchée en avant, sa ...