1. Une Prof Fan de Sodo ? (1)


    Datte: 09/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: SecCom, Source: Xstory

    Je me présente, je m’appelle Henry, étudiant en 2ème année BTS Négociation et Relation Client. Âgé de 20ans et plutôt beau garçon, je n’étais pas quelqu’un qui avait beaucoup de relations sexuelles, mais énormément de fantasmes. L’un de mes meilleurs fantasmes se réalisa. Ma professeure de Relation Clientèle, Madame A, âgée de 47ans. Assez fine, avec des cheveux courts, cette prof ne me laissait pas indifférente malgré le fait qu’elle ait plus du double de mon âge, que ça ne soit pas non plus un mannequin et qu’elle soit assez énervante comme prof, assez sévère.
    
    Un jour alors qu’on faisait des recherches sur les ordinateurs, je rêvassais, ou plutôt je fantasmais sur la prof, une robe rouge, des collants chairs, des bottes en cuir noir avec un talon d’une hauteur d’environ 9cms. Elle enchaînait les allers-retours entre son bureau et les ordinateurs, et à chaque fois je regardais son cul et sa démarche gracieuse. Tout à coup, elle se dirigea vers moi.
    
    — Henry, tu pourrais me donner un coup de main s’il te plait ?
    
    — Euh oui bien sûr Madame, que puis-je faire ? bégayais-je en étant surpris.
    
    — J’ai des cartons à ramener dans une des petites salles inutilisées au fond du couloir, tu veux bien les emmener avec moi.
    
    — Oui oui.
    
    Nous étions accroupis près des cartons remplis de documents. Elle en prit un. Il en restait 3.
    
    — Tu peux prendre celui-là à mes pieds d’abord.
    
    Si près de la femme qui me faisait fantasmer depuis désormais 15 mois, je devins tout ...
    ... stressé. Tout tremblant, je finis par toucher ses bottes en voulant prendre le carton par en dessous. Je ne sais pas si elle le sentit, car ce n’était pas très virulent. Cependant, elle esquissa un sourire. Je réussis tout de même à saisir le carton.
    
    Nous étions maintenant en route vers la soi-disant salle, je la suivais, et je ne le perdais pas de vue. Ces jambes me rendaient totalement fou. Je commençais à bander durement. Le souci était que ça se voyait. Je baissais le carton pour éviter que cela se voit de trop. Nous arrivâmes devant la salle. Elle posa son carton par terre, prit les clés, ouvrit la porte, se baissa pour ramasser son carton, jeta un oeil vers moi et me laissa passé en premier. Lorsque je passai la porte, elle me parla :
    
    — Tu as eu du mal à attraper le carton, mais alors pour le porter je viens de voir que tu n’as pas besoin de tes bras.
    
    Elle avait dû voir que mon membre était au garde à vous et y faisait référence. Je posais le carton dans un coin au fond, lorsqu’elle fit de même, mais à l’entrée. La pièce ne faisait même pas 10m◊. La porte avait été refermée, je m’y dirigeais, j’allais ouvrir la porte, mais Madame A me stoppa.
    
    — Attends
    
    — Pardon ?
    
    — Tu crois que je ne t’ai pas vu ? dit-elle en se rapprochant de moi.
    
    — Vu faire quoi ? angoissai-je.
    
    — Me mater lors de mes défilés sous tes yeux toute à l’heure, je suppose que tu t’es bien rincé l’oeil sur le chemin également, je n’imagine même pas tes pensées pour avoir une trique ...
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