1. Un cocu heureux 5


    Datte: 08/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... maintenant à assouvir le démon qui la travaille depuis des mois en se donnant enfin à Léo,l’amoureux transi qui n’osait pas.
    
    Elle va dévorer du mâle, elle va se soumettre, se faire sauter et bourriner sans réfléchir, par besoin de libération sexuelle, c’est une expédition dont elle ne sortira pas indemne. Marquée par Gérard, elle recevra en vagin tellement d’empreintes sexuelles, elle conservera une fringale sans limites des relations sexuelles multiples. Qu’y puis-je ? Assister, c’est déjà beaucoup, comme me réjouir de la savoir sexuellement comblée, de lire la jouissance sur son visage en extase. Ce sera mon lot de cocu consentant.
    
    Mais le fait d’être témoin désormais me rend complice, et je vais essayer d’être un cocu heureux. On ne se moque pas de moi, on me laisse voir et je suis même invité à participer: il vaut mieux avoir une petite part que d’être entièrement exclu. Mylène ne me méprise pas, ne me rejette pas. Mylène veut réparer son erreur en s’exhibant devant moi, elle accepte que je la voie gravir les marches de la jouissance procurée par Léo. J‘ai même de l‘admiration pour ma femme qui a su ne pas céder plus tôt à l‘attirance qu‘elle avait envers lui; des mois de résistance auxquels il est normal que je mette fin.
    
    Mon refus serait une torture pour elle, je dois permettre et encourager cette liaison. Elle a eu une ...
    ... conduite héroïque jusque dans l’aveu des tentations fait là devant nous. J’ai eu l’idée d’acheter le silence de Léo et de Léa, Mylène ne l’a pas rejetée : pour me faire plaisir, puisque je lui ai enfin fait part de mon vieux fantasme. Et devant le couple ami, elle me laisse frictionner légèrement sa vulve prête à accueillir bientôt le serpent de Léo. Dans ses yeux je lis tant d’amour pour moi. Là est mon bonheur, dans l’expression de sa reconnaissance.
    
    Léa examine le corps marqué de taches sombres, brunâtres, elle interroge:
    
    - Quel est le sauvage qui t’a fait ces horribles suçons ? Les jeunes ne savent plus aimer le corps des femmes et le vénérer. Ce Gérard t’a saccagée, c’est un jeune con. Quel manque de classe. Mais ça doit être enivrant de se faire bouffer la moule par un pareil abruti. Tu me raconteras tout, sa force, son savoir faire, ton plaisir sous ce jeune amant. Il faudra que j’essaie de me faire troncher par lui. Moi aussi j’ai des fantasmes.
    
    - Tu te trompes, ces marques sont l’œuvre d’un mari amoureux excité par le spectacle que Gérard et moi lui avons présenté sans le savoir. Il est bizarre, il m’aime comme un fou et en même temps, il veut me voir prise, et farcie par un ou d’autres hommes. Alors, s’il le veut, je le veux aussi. Pour lui je me ferai trousser, sabrer, sauter et je hurlerai mes orgasmes pour les partager avec lui. 
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