1. Un cocu heureux 5


    Datte: 08/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... déshabiller entièrement. Elle est à la disposition de Léa et de Léo. Elle n’a pas compris ce que pourrait être ma participation active. C’est l’autre couple qui va diriger nos ébats.
    
    - Alors Jean, qu’attends-tu pour déshabiller ta femme. Tu nous l’offres, à toi de déballer le cadeau.
    
    Mylène a l’air résignée. Pourquoi y a-t-il du désespoir dans ses yeux quand je m’approche pour ôter blouse, short, soutien-gorge. Pour faire bonne mesure le string coquin enfilé ce matin en vue de son rendez-vous commence à descendre au-dessus des genoux.
    
    - Léa, voici ma femme, je te la confie. Léo Mylène vous appartient, comme elle l’a décidé volontairement. Faites-en bon usage.
    
    Léo est le coq de cette basse cour.
    
    - Levons nos verres à la bonne suite de notre réunion. Jean, Léa te déshabillera. Ma chère Mylène, s’il te plaît, dénude-moi et vois comme tu excites ma queue.
    
    Léo garde son sang froid. Il n’a pas fallu longtemps pour les mettre à l’aise ces deux là. Comment Léo a-t-il convaincu aussi vite Léa ? Mylène a plus de mal qu’elle à s’adapter à cette situation nouvelle. Elle avait choisi Gérard, elle se soumet à la nécessité de faire taire nos amis. Elle avait eu envie du jeune homme, elle a besoin du couple. La nuance ne m’échappe pas.
    
    - Êtes-vous certains de prendre une bonne décision. Jean si tu insistes je me donnerai à Léo. Attention, tu devras en supporter les conséquences. Léa es-tu sûre de toi ? Tu ne m’en voudras pas ?
    
    - Mais, oui, fais-toi plaisir et ...
    ... contente mon Léo. Crevez l’abcès et vous serez soulagés, la vie sera plus simple pour nous quatre. Finis les idées noires, les soupçons insupportables Vivons en toute franchise, sans cachotteries assumons nos actes.
    
    Mylène nous observe puis vide son sac.
    
    - Depuis quelques mois, Léo et moi pratiquons le covoiturage. Depuis des mois j’ai envie de faire l’amour avec lui. Depuis des mois, je lutte pour dominer ce désir, parce que je t’aime mon cher Jean. J’ai résisté à l’envie de me jeter à son cou au retour du travail, par amour de toi, mon Jean chéri. Des dizaines de fois.
    
    - Chérie quitte tes nuages. Est-ce par amour de moi que tu m’as cocufié hier soir ? Tu aurais dû me prévenir au lieu d’agir en douce. N’en parlons plus, ce qui est fait est fait. L’essentiel arrive. Ici, tu vas te donner avec ma bénédiction et devant moi. C’est un partage du plaisir. Tu vas connaître de nouveaux frissons et des orgasmes voulus par nous quatre. Il n’y a rien de tordu, pas de tricherie, juste la recherche du plus grand plaisir avec le consentement de chacun. Tout ce qui te rendra heureuse fera mon bonheur, tout.
    
    Mylène enchaîne et ne me surprend qu’à moitié:
    
    - J’ai espéré en vain que Léo se décide à m’embrasser et à me bousculer. Chaque soir j’ai attendu qu’il ose, qu’il m’embrasse, qu’il caresse mes seins. Certaines fois son pantalon était tendu, je me disais qu’il finirait par craquer et que nous aboutirions sur la moquette, qu’il m’arracherait ma culotte, qu’il ferait sauter mon ...