1. L'université : de la soumission à la consécration (5)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: donico, Source: Xstory

    ... sa fente, je constate qu’elle est trempée. Non, dégoulinante même. Son string est gorgé de liquide gluant…
    
    Pourtant, alors même que mes doigts effleurent son clitoris, Léna réagit enfin, et avec violence. Elle se retourne brusquement et me colle une gifle en plein visage.
    
    — J’ai dit non ! lâche-t-elle.
    
    — Mais… t’es toute mouillée…
    
    — Ce sont les règles !
    
    — Je m’en fous des règles.
    
    Je lui attrape alors de nouveau un nichon, que je presse entre mes doigts.
    
    — Allé, laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas !
    
    — J’ai dit non !
    
    Cette fois elle s’écarte pour de vrai, confirmant que sa décision est prise. Je fulmine : encore une fois, c’est alors que je croyais être arrivé au but qu’elle se dérobe. Elles se sont liguées pour me rendre fou ou quoi ?!
    
    — Viens avec moi, me dit-elle alors en se dirigeant vers la sortie, comme si rien ne s’était passé.
    
    Conscient qu’elle a encore obtenu ce qu’elle voulait, je la suis sans un mot. Elle me guide donc dans des couloirs qu’elle semble connaître par cœur (ce qui est sans doute le cas), jusqu’au bureau de la sous-directrice. Je reste alors bêtement planté devant la porte.
    
    — T’es sérieuse ? Tu veux que j’aille me plaindre auprès de la sous-directrice ?
    
    — Qui parle de te plaindre ? Tu peux juste lui exposer ton problème ! Et ne t’inquiète pas, je serais avec toi.
    
    Seulement à moitié rassuré, je n’ai de toute façon pas trop le choix puisqu’elle frappe déjà à la porte. Un peu paniqué par mon état après ce ...
    ... qui vient de se passer avec Léna, je tâte rapidement mon entrejambes, mais constate avec soulagement que j’ai déjà quasiment débandé. Rien n’est visible de l’extérieur en tout cas (je ne me voyais pas trop entrer dans le bureau de la sous-directrice avec une gaule monstrueuse).
    
    La propriétaire des lieux ne nous invite pas à entrer, mais elle vient carrément nous ouvrir la porte. Je suis un peu intimidé en la voyant : son air pincé s’accorde à merveille avec son chignon, ses lunettes qui accentuent son air sévère et son tailleur impeccable. En d’autres circonstances, j’aurais sans doute pu remarquer qu’elle n’était pas mal, malgré sa quarantaine bien entamée, mais sur le moment je me focalise surtout sur ma propre tenue, qu’on pourrait qualifier de débraillée dans cette situation.
    
    — Oui ? demande-t-elle alors que je n’ai toujours pas ouvert la bouche pour justifier notre présence.
    
    — Il semblerait qu’il y ait eu une erreur dans l’attribution des chambres, l’informe Léna d’une voix douce.
    
    La sous-directrice fronce les sourcils.
    
    — Pourquoi ne pas aller voir le secrétariat ? C’est plus de leur ressort !
    
    Léna lui livre alors l’un de ses plus beau sourire, mi-timide mi-charmeur.
    
    — C’est que je me suis dit… que vous seriez peut-être la plus indiquée pour recevoir cette demande.
    
    La numéro 2 de l’université me jauge alors du regard par-dessus ses lunettes. Je ne sais pas trop ce que Léna entend par là, mais ça ne me rassure guère.
    
    — C’est possible, lâche enfin ...
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