Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (48) : les jeunes amants.
Datte: 07/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... mon chéri, ça me rappelle ces merveilleux moments où, chaque semaine, je me faisais baiser par de jeunes mâles à la cité. Ca me manque tant !
Et environ 20minutes après, il se met à jouir en moi.
L’autre jeune prend ma tête à 2 mains et me fait comprendre que je dois le sucer.
Pendant que je me redresse pour le sucer, le gars s'adresse à Philippe
• désolé mais on l’a fait jouir ta femme, avec nous elle prend son pied, avec toi elle perd son temps !
Il explose de rire et son copain en fait de même. Je ne dis rien, trop concentrée sur ma fellation.
Philippe est humilié, ça me gêne et, en même temps, ça m’excite.
• Regarde comment elle me suce ta meuf. Regarde, elle se touche tellement elle aime ça !
A ce moment, le deuxième jeune se rapproche d'eux.
• A mon tour maintenant !
Je me mets à 4 pattes.
• Viens me prendre en levrette !
Je suis à 4 pattes, mon second amant me tient par les reins et commence le coït.
Pendant qu'il me touche partout, le jeune se met à accélérer le mouvement violemment.
• Chérie ça va ?
• Oh putain, que c’est bon ! Tu vois pas que je prends mon pied ? Laisse le faire, je vais jouir ! Vas-y toi, pilonne-moi, démonte-moi ! N’arrête-pas !
Son bassin s’avance, ses fesses se durcissent. Il est en train de s’enfoncer, d’ouvrir et repousser les chairs intimes.
Philippe nous regarde forniquer. Son regard témoigne de son excitation et de son amour envers moi.
L’autre jeune a repris des forces. Il fait signe à ...
... son copain de se relayer. Ils me prennent à tour de rôle, pour m’accabler de plaisir et retarder l’échéance. Quand mon étalon du moment sent qu’il va venir, il se fait remplacer, l’autre prenant aussitôt le relais dans ma vulve.
Les garçons s’activent à tour de rôle, en alternant des coups de reins brusques et puissants à d’autres beaucoup plus lents mais bien plus profonds.
Les gémissements montent en puissance jusqu’à devenir des cris.
• Oh Philippe, mon amour, approche ! Tiens-moi la main, embrasse-moi ! Regarde ce qu’ils font à ta chérie ! Ils me tuent de plaisir ! Je suis une salope, une putain ! Grâce à toi, Philippe !!!
Les gestes deviennent moins doux, les coups de reins se muent en coups de boutoirs. C’est une course effrénée vers le plaisir suprême qui se déroule. Je n’en reviens pas de la violence de l’assaut. Je ne suis plus qu’un pantin, désarticulée, s’agitant au gré de la possession que je subis avec délice.
Comme j’aimerais qu’ils soient plus que deux pour que d’autres se succèdent sur moi, que ça dure des heures, que ça ne s’arrête pas.
Je change de position, car au moment ultime, je veux voir leur plaisir, je veux leurs caresses, leurs baisers. Je m’ouvre au maximum, écarte les jambes en repliant mes genoux que je ramène vers ma poitrine. Je crie. Je gémis. Je m’efforce de garder les yeux ouverts, de ne pas perdre du regard Philippe. Si je connais ce plaisir inouï, c’est grâce à lui, c’est qu’il a tant voulu que nous reproduisons encore et ...