1. Première expérience à trois


    Datte: 07/11/2018, Catégories: ff, ffh, fbi, inconnu, uniforme, hépilé, fépilée, vacances, bain, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, fdanus, uro, confession, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... me retourne et me guident. Un pied de chaque côté du corps de Jérôme immobile, je sens Annette appuyer d’une main sur mon épaule et glisser l’autre entre mes cuisses.
    
    — Tu es trempée, dis donc. Inutile de nier. Mets-toi à genoux.
    
    Elle accompagne ma descente et je vois entre mes cuisses sa main se saisir du sexe bandé de son mari qui repose, luisant, sur son ventre.
    
    À genoux, derrière moi, elle s’est collée contre mon dos et je sens les pointes agressives de sa poitrine s’écraser contre mon dos. Une nouvelle pression sur mes épaules et je commence à descendre vers le pieu qu’elle guide entre mes cuisses. Au contact du gland sur mes lèvres, je marque un petit temps d’arrêt vite balayé. La progression reprend lentement, la pointe oblongue écarte les lèvres déjà béantes et congestionnées puis appuie sur l’orifice vaginal qu’il pénètre sans difficulté à ma grande surprise. Malgré la crainte d’être pénétrée par un sexe de cette taille, je le sens s’enfoncer sans réelle douleur entre mes chairs lubrifiées par le désir et emplir progressivement la gaine de mon vagin qui se distend pour accueillir en vainqueur son envahisseur. Au moment où mes fesses viennent s’écraser sur les bourses et le ventre de Jérôme, une faible douleur me signale que le gland vient de buter contre le col de l’utérus. Au millimètre près le fourreau de mon vagin se resserre sur l’occupant que je sens palpiter.
    
    — Tu le sens bien maintenant, mon ange ? Tu aimes ? Elle est bonne hein ? Tu aimes sa ...
    ... bite ? Elle te remplit bien, hein !
    
    Annette, toujours collée contre mon dos me chuchote à l’oreille des bribes de phrases de plus en plus crues qui raniment mon excitation en fouettant le reste de gêne et de pudeur qui résistent faiblement. Sa langue lèche mes épaules, mon cou et fouille mon oreille déclenchant une série de secousses irrépressibles. Ses mains soupèsent mes seins, les pétrissent, pincent les mamelons.
    
    — T’as des bons gros seins, hein ? Tu aimes qu’on te les malaxe, hein, ma belle ! Regarde Jéjé ! Regarde les mamelles de notre petite Rachel ! Au moins deux fois plus grosses que les miennes ! Regarde comme elles se balancent ! Tu aimes ça, dis, mon chéri.
    
    Jérôme ne répond pas. Il a ouvert les paupières et ses yeux suivent le jeu des mains de sa femme sur mes seins. Je sens les battements du sang qui anime son membre emballé dans la gaine étroite de mon vagin.
    
    — Baisse-toi vers l’avant, ma chérie, laisse-toi faire !
    
    Poussée par Annette, qui a lâché mes seins, je me plie vers le torse de son mari. Jérôme a relevé les reins pour faciliter le mouvement et conserver au mieux la liaison intime de nos sexes. Il a lui-même saisi mes seins qui ballottent au-dessus de sa poitrine et prend le relais des caresses de sa femme, triturant, pétrissant les masses laiteuses et sensibles.
    
    Jérôme rabaisse lentement les reins et je sens à mesure sa queue se libérer de son enfouissement. Puis le mouvement gagne autant en amplitude qu’en rapidité. Bientôt, l’allure ...