1. Quel Rêve !


    Datte: 07/11/2018, Catégories: fh, Oral douche, Auteur: Magwah, Source: Revebebe

    ... pont. Alors que tu es accroupie, ta jupe fendue laisse entrevoir une cuisse musclé et d’une rondeur qui m’envoûte. J’en salive à te regarder penchée ainsi. Je te tends la main pour t’aider à te relever. Et revoilà sur tes lèvres ce sourire qui en dit si long et que j’aimerais bien pouvoir interpréter avec plus de précision. Je crois que ce que je souhaite le plus en ce moment c’est manger vite pour me retrouver rapidement dans tes bras dans un lieu plus intime où je pourrai donner libre court à mon imagination.
    
    Nous arrivons à l’isoloir qui a été réservé pour nous. L’hôtesse nous remet les menus et referme la porte derrière elle. Nous voici seuls au monde dans cet isoloir assis par terre et si près l’un de l’autre que je peux sentir la chaleur de ta cuisse sur la mienne par la fente de ta jupe.
    
    Le souper s’est bien déroulé. Tu aimais tout ce que tu goûtais et moi je te regardais manger du coin de l’œil pour ne pas que cela paraisse trop que je n’en avais que pour toi. On s’est raconté nos vies récentes le temps d’un apéro. L’entrée nous a fait connaître nos vies de couple respectives. Le repas fut réservé à un échange sur nos projets futurs. Curieuse coïncidence, nous avons tous deux le projet un jour d’avoir un gîte dans une belle maison ancienne sur le bord de la mer ! Nous avons, sans être de connivence, gardé le meilleur pour le dessert. C’est à ce moment que j’ai senti une force en moi qui m’incite à donner libre court à mes sentiments. Étaient-ce les rasades de ...
    ... saki chaud ou juste le courage que tu m’as donné par ta franchise et tes yeux qui brillent sans cesse. C’est à ce moment que je t’avoue que tu m’attires beaucoup et que je ne cesse de penser à toi depuis que j’ai vu ta photo sur Internet. Tu n’en reviens pas et tu me dis que tu ne t’en es jamais aperçue. Je t’ai alors avoué ne pas avoir d’attente car je sais que ta vie est bien remplie et que ton emploi du temps est voué presque entièrement à ton travail.
    
    Je suis surpris quand tu me confies ne pas être complètement heureuse. Tu m’avoues même me trouver sympathique, beau garçon et flattée de l’attrait que tu exerces sur moi. Mais ta vie sexuelle s’est éteinte suite à une thérapie qui a fait surgir du passé des moments traumatisants. Tu m’avoues même que tu n’as pas fait l’amour depuis cette fameuse thérapie il y a deux ans. Heureusement, tu en ris. Finalement tu me dis que c’est bien de ne pas avoir d’attente par rapport à toi. Je te dis alors que j’apprécie beaucoup cette jeune amitié qui naît entre nous et que j’aimerais bien que nous puissions continuer à nous fréquenter quand tu retourneras à la maison. Tu es d’accord ! Je m’aventure alors à te demander si tu veux-que nous allions marcher un peu.
    
    — On pourrait aller dans le parc près de ton hôtel ?
    — D’accord.
    
    Le trajet de retour en taxi me permet d’être encore près de toi. Nos cuisses sont soudées l’une contre l’autre. Même dans la noirceur du taxi je peux distinguer la peau de ta cuisse par la fente de ta jupe. ...
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