1. Mes retrouvailles avec mon épouse


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, 2couples, couple, extraoffre, cocus, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, échange, attache, entrecoup, Auteur: Alain C, Source: Revebebe

    ... café.
    
    Après une heure de discussion, elle a fini par avouer qu’elle avait éprouvé du plaisir avec Bruno, à défaut de moi avec Patricia, et que c’était elle qui avait manigancé ce dîner avec Sylvie et Bruno pour se retrouver avec lui et me jeter dans les bras de sa collègue. Cela faisait des semaines qu’il lui faisait du rentre-dedans, et il avait fini par l’entraîner dans sa voiture pour faire l’amour. Cela ne m’avait fait ni chaud ni froid.
    
    J’ai tout naturellement alors pensé au corps de Patricia, j’avais envie de la revoir. Je me suis mis en devoir de déculpabiliser Sylvie en lui expliquant que puisque nous ne parvenions pas à bien faire l’amour ensemble, il ne fallait pas refuser le plaisir que l’on pouvait prendre autrement. Que cela n’avait rien à voir avec l’amour, mais seulement le plaisir des sens, que cela ne troublerait en rien notre mariage, à condition que nous ne nous cachions rien. C’est ce qu’elle voulait entendre, j’avais bien compris qu’avec ou sans moi, elle ferait n’importe quoi pour revoir son amant.
    
    Vis-à-vis d’elle, mes sentiments étaient très partagés. Je ressentais une sourde colère, presque enfantine, de voir la femme que j’aimais et que j’avais épousée tripotée par un autre. C’était comme si on me volait mon jouet. Ça me faisait littéralement mal au ventre de savoir qu’elle prenait son pied dans les bras d’un autre, alors que je ne savais pas la faire jouir. En même temps, je venais de découvrir autre chose. Voir ma femme les seins nus, ...
    ... les cuisses ouvertes prête à accueillir un homme, m’avait empêché de jouir. Je l’avais observée, tout en caressant Patricia, serrant entre ses cuisses relevées Bruno qui allait et venait dans son con, qui m’appartenait tout de même. C’était sur cette dernière image que j’avais éteint ma lampe.
    
    Un peu plus tard dans la nuit, je ne parvenais toujours pas au sommeil. Surexcité au fur et à mesure que les minutes et les quarts d’heure se succédaient. À un moment, je rallumai ma lampe de chevet.
    
    — Tu es malade ou quoi ? jeta Sylvie, dressée sur ses coudes. Tu as vu l’heure ?
    
    Elle se bloqua, ahurie. Mon sexe sortit de mon caleçon. Un sexe énorme. Comme je ne l’avais jamais vu.
    
    — Alain, fit-elle d’une voix changée, qu’est-ce… qu’il t’arrive… y a des semaines…
    
    Je soufflais comme un phoque.
    
    — Tourne-toi. À quatre pattes. Fesses en l’air. Et ouvre tes fesses à deux mains.
    
    Effarée, elle obéit. Elle se mit dans la position exacte que je lui avais demandée, celle que j’exigeais d’elle, plutôt. Je la pénétrai avec une violence qui la fit hurler.
    
    — Doucement ! geignait-elle de temps en temps. On va réveiller les voisins.
    
    Je la défonçais comme un Turc.
    
    — Rien à f… des voisins ! Qu’ils viennent. Qu’ils voient comment on baise une salope…
    
    Une heure et demie plus tard, je m’allongeai.
    
    — Excuse-moi, fis-je, je suis un peu fatigué. Je ne t’ai jamais avoué ça, mais si je pouvais te prendre là où…
    
    Sylvie se tortilla.
    
    — Ça va, j’ai pigé. Bon Dieu, pourquoi ...
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