La Lolita
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Galileo, Source: Hds
... bénit du bon dieu pour avoir la chance de contempler des choses aussi merveilleuses. Il est évident qu’il bandait comme un âne.
Doucement, sans rien dire, les paroles auraient été superflues, elle posa ses pieds sur les épaules de Louis et se laissa glisser le long du tronc d’arbre jusqu’à que sa chatte rencontre les lèvres de Louis. Là, elle s’arrêta, et serrant l’arbre du plus fort qu’elle pouvait, elle offrit son con et son cul à la langue vorace de son oncle. Au bout d’un quart d’heure, à bout de force, elle se laissa tomber sur Louis. Il la déposa délicatement par terre et la supplia de lui accorder ses faveurs.
- Non, il n’en est pas question, je ne veux pas faire cocu tante Marie qui m’a si bien accueilli.
Elle ne manquait pas d’air, après excité le mâle au maximum, elle prenait prétexte de considérations morales pour se refuser à lui.
- Mais… Si tu veux, tu peux te branler, j’aimerais bien voir un homme se branler pour moi.
Dans l’état ou il était, Il était prêt à tout accepter, se mettant à genoux, il sortit son gros machin. Faussement ingénue, elle s’allongea sur le dos à deux mètres devant lui et, se tenant sur les coudes, ouvrit ses cuisses laissant de nouveau voir la bouleversante origine du monde. Cette posture obscène, le gros plan sur cet entrecuisse complètement lisse décupla son désir si c’était encore possible. Il se branla furieusement et lorsque le premier jet de foutre atterrit entre les jambes de Violaine, des larmes se mirent à couler ...
... de ses yeux. Il était vil, il était lâche et il avait honte d’avoir pris un tel plaisir sous l'œil moqueur de la jeune fille. Visiblement, celle-ci était fière de constater son pouvoir.
Sa queue n’était pourtant pas encore satisfaite, malgré une légère faiblesse après qu’il eut éjaculé, il avait encore envie. Mais déjà, Violaine s’était relevée. Se plantant debout à quelques centimètres du visage de Louis, elle lui donna ses ordres.
- À partir de maintenant, quand tu m’apporteras le petit déjeuner, avant d’entrer dans la chambre, je veux que tu sortes ton engin de façon à ce que je puisse vérifier si tu as envie de moi. Si tu bande bien, tu pourras alors te mettre à genoux devant le pot de chambre et m’essuyer le minou après que j’ai pissé, sinon, ce ne sera même pas la peine de rester.
Vaincu, honteux, Louis continua à se branler les larmes aux yeux pendant qu’elle s’éloignait.
Les jours suivants, avant d’entrer dans la chambre de Violaine, Louis prenait bien soin de sortir sa queue et de se branler légèrement pour lui donner un peu de prestance. Enfin présentable, il frappait discrètement à la porte et déposait le plateau sur la table. Il s’approchait ensuite du lit, flamberge au vent et attendait que Violaine constate qu’il était dans de bonnes dispositions. Parfois, pour l’humilier encore davantage, elle saisissait le mandrin en faisant «diling, diling». Alors elle ordonnait.
- C’est bon, mets-toi en position, j’arrive.
Mais ce n’était pas encore assez ...