1. La Lolita


    Datte: 06/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... retenue dans la gorge accueillante. Le miracle eut lieu comme d’habitude. La drogue distillée par le conin de Violaine annihilait tout esprit de révolte chez Louis. Lorsqu’elle eut fini sa miction, Louis lui nettoya respectueusement la chatte.
    
    Remarquant que comme d’habitude, Louis bandait, elle ordonna.
    
    - Je ne peux pas attendre parce que tante Marie pourrait arriver d’un instant à l’autre. Alors, je veux que tu sortes ta grosse queue et tu te branles jusqu’à que tu n’en puisses plus, je ne veux pas qu’elle profite ce soir de l’état ou tu es grâce à moi.
    
    La petite peste était à peine arrivée à la porte de l’étable qu’elle entendit Marie qui venait aux nouvelles. Elle se planqua et se faufila dès que possibles dans la cuisine, prenant une attitude de sainte nitouche.
    
    Marie arriva à hauteur de l’endroit où se trouvait son mari, le trouva à genoux, agitant son gros machin noueux. Après 25 ans de mariage, c’est la première fois qu’elle le voyait se branler. Ouvrant des yeux ronds comme des billes.
    
    - Ben, qu’est-ce que tu fais ?
    
    C’était pour dire quelque chose, elle voyait bien ce qu’il faisait. Il la regarda. Même pas gêné dans cette position humiliante pour un homme de son âge, on pourrait même dire soulagé de se faire prendre et pouvoir enfin partager sa douleur.
    
    - Tu le vois bien, je fais suer le monstre, il en a besoin… depuis que la petite est là, il n’y en a que pour elle. Moi je ne compte plus, je suis un homme, j’ai des besoins.
    
    Bien sûr, ...
    ... c’était hypocrite, mais c’est ce qu’on appelle retourner la situation. Le plus extraordinaire fut que ça a marché. Marie, toute attendrie, les yeux voilés devant son gros nounours qui se livrait sans pudeur devant elle. Elle sentait confusément qu’il se passait des choses pas très catholiques. La fameuse intuition féminine ? Dans un souffle, elle dit.
    
    - Viens.
    
    Le prenant par la main, elle le releva et il la suivit, il n’eut pas le temps de fermer sa braguette, à peine s’il eut le temps de ranger le monstre dans son caleçon. Passant devant Violaine dans la cuisine, Marie lui dit d’un air pincé.
    
    - Ne t’inquiète pas si tu entends du bruit dans notre chambre, si ça te gêne, mets-toi un oreiller sur la tête !
    
    Il était à peine 8 heures, ce soir-là, la lumière resta allumée dans la chambre jusqu’à 2 heures du matin. Louis et Marie eurent le temps de jouer, et de rejouer plusieurs fois la « charge de la brigade légère ».
    
    Le lendemain matin, Louis du bas de l’escalier, invitait Violaine à venir prendre son petit déjeuner dans la cuisine.
    
    Violaine compris que son temps était fini, de toutes façons, elle en avait marre de ce pays où il faisait tout le temps gris. Deux jours plus tard, Marie la reconduisait à la gare. Profitant d’être en ville, elle s’acheta quelques lingeries polissonnes et même carrément provocatrices pour ne pas dire porno.
    
    Comme au temps où ils étaient jeunes mariés et même plus, Louis était un homme comblé, Marie avait commencé à lui faire des ...