1. L'étalon aiguille (Tome 3) (1)


    Datte: 09/02/2018, Catégories: Transexuels Auteur: Sam Botte, Source: Xstory

    ... sexe, elle s’enroulait autour de mon clitoris, m’arrachant de véritables cris de plaisir. Plus celui-ci augmentait, plus je me cambrais, augmentant ainsi la pression des caresses que Tiffanny me prodiguait. Parallèlement, le majeur de sa main gauche se faisait plus pressant entre mes fesses.
    
    Son menton était littéralement encastré dans ma fente, son majeur était aux trois quart enfoncé dans mon fondement, et moi, j’avais les jambes largement écartées en l’air lorsque je jouis bruyamment, lui envoyant au fond du palais la manifestation liquide du premier orgasme clitoridien de ma vie de femme ! Elle recula son visage afin de bien voir mes yeux et retira doucement son doigt. Je poussai un nouveau petit cri et rejetai ma tête en arrière.
    
    — Tiff’, oh Tiff’, viens… Fais-moi l’amour, Tiff’, je t’en supplie ! Viens…
    
    — Oui, Sam, oui… Moi aussi, je veux ! Viens, on va passer dans notre chambre…
    
    Elle avait appuyé le mot "notre" avec une lueur gourmande dans le regard. En l’occurrence, "notre chambre" devenait manifestement celle de Tiffanny et Samantha, et non plus celle de Tiffanny et Philippe !
    
    Elle m’aida à me relever du canapé, posa sur mes épaules dénudées mon maxi manteau de cuir et me prit la main tandis que nous avancions dans le couloir. Avant qu’elle ne se retourne pour fermer la porte, je baissai complètement le zip qui fermait sa combinaison afin de faire jaillir à l’air libre ses deux seins que je me mis à masser délicatement. Elle me tendit ses gants ...
    ... qu’elle venait d’ôter en me soufflant :
    
    — Tu les veux?
    
    — Oui, je veux bien… Tu me connais trop, toi !
    
    — Je sais ce qui te fait vibrer autant que toi, tu sais ce que j’aime, Sam… Ça s’appelle de la complicité !
    
    Je les enfilai puis l’aidai à dégager ses épaules de la seconde peau dans laquelle elles étaient engoncées. Je fis glisser le cuir sur elle et m’arrêtai à la hauteur de ses hanches.
    
    — Assieds-toi là sur le lit, Tiff’, je vais t’enlever tes bottes…
    
    Elle obtempéra et s’assit sur le rebord du matelas, le talon droit reposant au sol, l’autre jambe tendue à l’horizontale devant elle. Je l’enjambai, plaçai une main sous son genou et saisit de l’autre le talon de la botte, présentant à Tiffanny mon cul nu. Pendant que je tirai pour la déchausser, elle posa ses mains sur mes hanches. Je me redressai quinze secondes plus tard, tenant comme un trophée la botte blanche dans la tige de laquelle je plongeai illico mon nez afin de respirer avec gourmandise les effluves de la doublure de peau chauffée par son pied. Elle reposa celui-ci au sol et se redressa pour déposer un langoureux baiser sur mes fesses.
    
    J’ôtai de la même manière l’autre botte, puis la fis se relever en même temps que je m’agenouillai devant elle. Je remontai les fines fermetures éclair ornant le bas de la combinaison et achevai de la dévêtir, en appuyant plus que cela n’était vraiment nécessaire le glissement du cuir sur sa peau. Quand elle fut complètement nue devant moi, elle se mit sur la pointe ...
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