Les aventures de Françoise (5)
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... par les chevilles croisées de Françoise qui le maintenait fermement dans son tréfonds.
- Ah la salope, si les parents d'élève savaient ça, murmurait-il entre ses dents.
Il n'en était pas moins fasciné par la vitalité du jeune homme qui imposait à son épouse un coït au rythme époustouflant, suscitant de la part de Françoise des vocalises qu'il n'avait jamais provoquées, sauf peut-être à leurs premiers ébats. D'une certaine façon, il redécouvrait sa femme. Cet éphèbe la régalait, il était bien obligé d'en convenir. Tantôt elle se prenait les pieds pour s'ouvrir grand angle, tantôt elle crispait ses mains sur ses fesses pour accompagner l'espèce de roulement à billes, tantôt elle lui talonnait les reins, bref elle baisait, elle baisait vraiment, à fond, comme si elle avait l'âge du mec et c'était une sacrée révélation. Ce cul masculin inlassable lui donnait une furieuse envie de se branler et il ne s'en privait pas, sa queue revivant pour la première fois depuis longtemps.
Puis Guillaume se retira, dévoilant un pénis d'une longueur appréciable, légèrement recourbé, que Françoise engloutit aussitôt d'une bouche vorace. "Jamais elle ne m'a taillé une pipe comme ça" se dit Gérard, non sans dépit. Mais il n'était pas au bout de ses découvertes.
Françoise se mit à quatre pattes en travers du lit, face à la porte, son amant derrière elle pour la prendre en levrette. Elle voulait que Gérard voie son visage dans le plaisir. Elle voulait qu'il voie aussi Guillaume de face et ...
... non plus de cul. Le couple se mit à clapoter avec allégresse. Gérard regardait alternativement les yeux de Françoise, tantôt clos, tantôt illuminés, sa langue se lécher les lèvres, ses gros seins balloter à chaque coup de boutoir, sa croupe virevolter et aller chercher la bite, le gamin au ventre plat concentré sur sa queue et pétrissant les hanches de la quasi sexagénaire, celle-ci l'encourageant à persévérer :
- Retiens-toi, retiens-toi, répétait-elle entre deux onomatopées de plaisir.
Puis elle prononça une phrase, LA phrase, qui acheva de convaincre Gérard que sa femme n'était décidément plus celle qu'il croyait :
- Encule-moi maintenant. Prépare-moi.
L'autre se retira et mis la langue là où Gérard n'aurait jamais imaginé la mettre. Françoise souriait de toutes ses dents. Visiblement, elle appréciait ce que Gérard ne savait pas nommer : l'annulingus. Et Guillaume entra, avec précaution puis accéléra son rythme et lima copieusement, déclenchant chez Françoise une salve de mots crus qui sidérèrent le voyeur :
- Ta bite est dans mon cul, ta bite est dans mon cul, je la sens bien, elle est dure, elle est bonne, laisse là bien au chaud, fouille, creuse, je la veux jusqu'aux couilles...
Les peaux claquaient, Gérard s'astiquait frénétiquement debout et pris d'une subite impulsion, il s'avança vers le visage de Françoise, lui tendit son gland qu'elle glissa aussitôt entre ses lèvres, suça, têta tout en remuant sa croupe et Gérard, subjugué, lui éjacula dans la ...