Folies en rut majeur (6)
Datte: 05/11/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... équivalait à une entente irréfutable. Elle s’en rendait compte, l’autre encore une fois, l’avait manipulé et crédule, elle était tombée dans le piège. Restait à savoir qui étaient les invités de ce type.
— Et vous êtes sûrs de vos amis ?
— Mais ce sont les vôtres aussi, soyez-en certaine ! Ils ne veulent rien d’autre qu’un strip-tease… ils vous l’ont réclamé haut et fort !
— Comment ? Vous parlez des gamins de la pizzéria ?
— Il se trouve que celui à qui vous avez si élégamment roulé un patin, est mon fils ! Alors ses amis voudraient le voir à l’œuvre une fois. Vous n’allez pas me refuser ce service. Et j’anticipe sur le fait que certains d’entre eux pourraient se laisser aller à… enfin vous me comprenez !
— Vous pensez vraiment que je vais baiser avec ces gosses ? Vous êtes marteau, ma parole !
— Mais… je crois que j’ai grassement acheté ces charmes que vous vendez apparemment ! Si la somme ne convient pas, je peux encore l’agrémenter de quelques…
— Il n’y en a pas des mineurs dans le tas ?
— Non, non, rassurez-vous le plus jeune c’est mon fils. Et Léo a eu vingt-deux ans cette année. Je peux vous demander une autre faveur ?
— Ça fait déjà beaucoup, vous ne trouvez pas ?
— J’aimerais seulement voir, le temps qu’ils arrivent…
— Voir ? Mais voir quoi ?
— Vos seins et votre… minou… après tout, je voudrais savoir ce que mon fils et ses amis vont… consommer !
Comme folle de rage, elle allait pour jeter l’argent à la figure de ce mâle qui se ...
... prenait pour Dieu le père. Puis en se ravisant, elle réalisait soudain que ce qu’il lui avait donné, aucune secrétaire ne le gagnerait en un jour, tout en s’usant les doigts et les yeux sur un clavier d’ordinateur. Alors, elle se mit debout, et ouvrit son corsage. Ses seins sous leur gaine de tissu devenaient la cible privilégiée des mirettes de ce gars. Puis quand le soutien-gorge fut ouvert, elle entreprit de relever sa jupe. Son slip descendu de quelques centimètres, l’autre avait le visage rouge. Un instant, elle crut qu’il allait faire un infarctus. Ses regards ne se détachaient plus de ce triangle de poils fins et soyeux, il ne quittait plus ce qui cachait la motte d’Aline.
— Ça convient à Monsieur ?
— Appelez-moi Hector…
— Alors je peux remballer la marchandise ? Hector ?
L’autre ne pouvait plus répondre. Elle remit son soustingue, et remonta simplement sa culotte. Elle s’assit de nouveau dans un canapé souple et hors de mesure.
— Bien ! Avant que vous mouriez d’une crise d’apoplexie, seriez-vous assez aimable pour me servir… une Vodka-orange, s’il vous plait ?
— Oh ! Pardon ! Oui, tout de suite…
Il préparait la boisson quand un tintamarre de klaxon perturba le calme de ce début de nuit. Les jeunes gens arrivaient. Aline se raidissait puis relâchant l’air de ses poumons, en fermant les yeux elle se disait que ce ne serait qu’un autre moment de honte à passer. La meute arrivait déjà dans la pièce. Les gamins furent un instant, presque surpris de la ...