1. Matures en folie


    Datte: 05/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... Ses chatons ?
    
    - Oui, c'est comme ça qu'elle appelle ses hardeurs. En fait, ce sont des jeunes mecs amateurs de matures qu'elle recrute sur internet après les avoir essayés elle-même.
    
    - Des escort boys ?
    
    - Non, elle ne les paie pas, elle n'a pas envie de se voir accusée de proxénétisme. Ce sont des gars qui aiment les gros nichons comme les miens ou des nanas bien salopes comme toi.
    
    - Merci ! Ce n'est pas parce qu'on aime le sexe qu'on est une salope.
    
    - Je plaisante. Mais tu vois l'esprit.
    
    - Et ces mecs, c'est quel genre ?
    
    - Des mitraillettes. Des turbines rotatives. Des arrosoirs à sperme. Des chats maigres de la bite qui n'arrêtent pas de te faire miauler. Une soirée avec eux, tu mets trois jours à t'en remettre.
    
    - Eh ben dis donc, ça fait envie ! Et c'est combien, le ticket d'entrée ?
    
    - Rien du tout. Juste ma recommandation, du moment que tu ne fais pas d'ombre physiquement à Laurence. Avec tes rondeurs, ça ne risque pas, même si je pense que tu plairais beaucoup à ces étalons.
    
    - Et les autres nanas, c'est qui ?
    
    - C'est un club fermé. Il y a Roselyne, une fausse rouquine de 60 balais qui s'est mise sur le tard au libertinage avec son mari; Martine, 60 ans également, célibataire, une sportive tout en muscles et en tendons, une grosse santé au plumard; Pascale, la cinquantaine, cheveux très courts, un peu forte, libertine elle aussi et puis moi. Et toi si tu veux. En principe, le nombre de mecs est équivalent à celui des femmes. Plus le ...
    ... mari de Laurence, qui vient surtout pour mater.
    
    - En attendant le retour de mon Belge, c'est tentant. Surtout que j'ai vraiment envie de baiser en ce moment. Ras le bol du gode. Envie de sucer quelque chose de chaud et de ferme...
    
    - Bon, c'est vu, j'en parle ce soir à Laurence. Prépare des ovules...
    
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    Une semaine plus tard, c'est une Viviane morte de trouille qui accompagnait Muriel dans la grande maison bourgeoise de Laurence où devait se dérouler la soirée. Son amie avait eu beau la rassurer en lui disant que rien ne l'obligeait à "consommer", Viviane aurait sans aucun doute renoncé si Muriel ne l'avait pas emmenée. Elle s'était confortée en revêtant ses sous-vêtements les plus affriolants, espérant ainsi accroitre sa séduction face à l'entourage féminin, tant elle craignait de ne "pas être à la hauteur".
    
    Mais tout se passa contrairement à toute prévision de sa part. Muriel avait omis (sciemment) de lui dire un fait essentiel : dès l'entrée, chacun était invité (fermement) à se mettre entièrement nu. Hommes comme femmes étaient ainsi mis d'emblée sur un pied d'égalité. Viviane n'eut même pas le temps de paniquer, ou de regretter de ranger ses jolis dessous : dès qu'elle eut posé culotte (et le reste), elle se sentit une autre femme. Un regard circulaire auprès des autres invitées la renseigna : en dehors de l'hôtesse Laurence, agréable et rassurante blonde aux petits seins haut plantés et au fessier rebondi, mais aussi de son amie Muriel, sculpturale ...
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