1. Matures en folie


    Datte: 05/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    Comme elles le faisaient deux ou trois fois par an, Muriel et Viviane s'étaient donné rendez-vous dans un salon de thé du centre-ville pour évoquer leurs joies et leurs soucis du quotidien. Amies de longue date, toutes deux quinquagénaires et divorcées, physiquement assez proches avec leurs cheveux blonds cendrés, leurs formes opulentes et leurs vêtements parfois un brin excentriques, elles se rejoignaient aussi dans leur vie sexuelle, souvent "diversifiée" et assez peu conforme à la morale traditionnelle (lire le texte "deux grands-mères cochonnes"). Dans l'état actuel, Muriel avait deux liaisons parallèles, l'une avec un trentenaire marié, l'autre avec un sexagénaire divorcé et aisé, tous deux se satisfaisant d'une situation qui ne les liaient guère à leur maitresse en dehors des "bons moments", disaient-ils. En clair, des parties de baise dont Muriel n'était pas avare en dépit de la frustration que lui occasionnait le départ de ses amants après consommation. En particulier le trentenaire qui la faisait vraiment jouir.
    
    Quant à Viviane, elle avait noué depuis peu une aventure avec un Belge qui lui apportait la fantaisie érotique à laquelle elle aspirait après deux expériences malheureuses, ses amants s'étant révélés nuls au lit. Revers de la médaille : l'éloignement du Belge, qui espaçait trop souvent à son goût leurs torrides parties de jambes en l'air. C'est de cette situation qu'elle entretenait Muriel devant leur tasse de thé :
    
    - Albert (le prénom du Belge) a ...
    ... vraiment réveillé ma libido qui était en train de sombrer mais quand il est parti, je me retrouve le bec dans l'eau, si je puis dire. Bien sûr, il y a mon gode mais franchement, ça ne vaut pas une bonne bite bien chaude et bien dure, hein ?
    
    - Je ne te le fais pas dire...
    
    - Tu as de la chance d'avoir deux fers au feu, toi, tu ne risques pas le chômage technique.
    
    - Que tu crois. Je passe parfois plusieurs semaines sans voir personne. Et j'en suis au même point que toi : le gode pour compenser. Ou autre chose...
    
    - Ah bon ? Quoi donc ?
    
    - Tu le gardes pour toi, hein ?
    
    - Bien sûr, tu me connais. Discrétion totale.
    
    - Bon, voilà. Je me suis fais une copine à la salle de gym, Laurence, une ophtalmo pleine de fric. Elle est mariée à un architecte et tous les deux sont des libertins notoires. Après une séance, on en est venues je ne sais plus comment à parler de cul. Elle m'a dit qu'elle organisait des soirées privées et quand elle a su que j'étais libre de corps et d'esprit, elle m'a proposé de venir.
    
    - Donc, si je comprends bien, elle organisait des partouzes.
    
    - Oui mais d'un genre particulier : rien qu'avec des femmes mûres, de préférence moins belles qu'elle. Il faut dire que malgré son âge, la cinquantaine, c'est un vrai canon. Tu verrais ce corps ! Elle doit faire un 38 à tout casser alors moi, avec mon 42, je lui allais très bien. Bon, je dois reconnaitre qu'elle m'a fait des compliments sur mon corps en me disant que je plairais beaucoup à ses chatons.
    
    - ...
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