Découverte féminine - Histoires de Sexe

Découverte féminine

... comme une onde qui inonda de bonheur le corps d’Annette.

La première rencontre entre les deux femmes eut lieu, très banalement, pendant la tournée des chambres que Cindy effectuait chaque matin. Nous étions depuis peu installés et elle est entrée dans la chambre pour s’assurer que notre installation s’était effectuée sans problème. Pour tout dire, je ne fus pas non plus insensible à sa présence. Mais cela ne fut rien, comparé à l’état dans lequel Annette se mit lorsqu’elle lui adressa la parole. Avec le recul, ce fut comme un coup de foudre entre les deux femmes. Je suis sorti quelques minutes afin de régler les dernières formalités administratives de notre séjour.

C’est Annette qui m’a raconté en détail ce qui s’est ensuite passé entre elles. Au contraire des nombreux regards et sourires qu’elles échangèrent, les paroles furent rares. Apparemment conquise, Cindy n’a rien fait pour éviter le contact physique avec Annette. C’est dans la salle de bains que le premier échange eut lieu. Le frôlement de leurs deux poitrines en fut l’élément déclencheur. Visiblement troublée, Annette ne sut que faire sur l’instant. Le courant semblait passer, mais aucune des deux ne se décida à faire le premier pas. C’est en quittant la chambre que Cindy prit l’initiative.

— Vous …Pourrait-on se revoir ? lui demanda Annette, sentant l’hésitation de la jeune femme.
— J’aimerais beaucoup, lui répondit celle-ci.
— Passez ce soir vers 22 heures, cela nous permettra de faire plus ample ...

... connaissance.

C’est à ce moment même que je fis mon retour. Cindy s’esquiva sans même un regard, visiblement troublée par la conversation qu’elle venait d’avoir avec Annette. Assise sur le bord du lit, Annette n’était pas en reste. Cela lui avait, semble t-il, fait de l’effet, car elle me demanda de lui faire l’amour, là, immédiatement. Je ne me fis pas prier. Ce fut le coup d’envoi d’une partie qui dura jusqu’en fin d’après-midi. Annette était ce jour-là vêtue d’un pantalon de tailleur de couleur chair qui mettait parfaitement en valeur ses fesses rebondies et encore fermes. Son chemisier blanc n’était plus tenu que par trois boutons contre quatre ou cinq lors de mon départ de la chambre. Elle avait, je pense, voulu faire de l’effet à sa visiteuse. L’échancrure de son chemisier laissait apparaître la courbe généreuse de ses seins. Le soutien-gorge de dentelle qu’elle portait semblait soudainement trop petit pour contenir de tels obus.

Nous nous sommes longuement et tendrement embrassés et caressés. Elle se frottait avec véhémence contre ma verge tendue. Ses mains me caressaient les cheveux ou me pétrissaient les fesses. De mon côté, je n’étais pas en reste. Je ne mis que quelques secondes pour lui ôter son pantalon. Elle avait tout prévu. Ses bas noirs tenus à mi-cuisses étaient attachés à de superbes porte-jarretelles en fine dentelle. Le petit string qu’elle portait avait disparu en même temps que son pantalon. Elle ruisselait sous l’effet conjugué de l’excitation et des ...