Découverte féminine - Histoires de Sexe

Découverte féminine

... Annette m’a quitté pour rejoindre la salle de bains. Je bandais encore. Le plaisir avait été tel que j’ai bien eu du mal à penser à autre chose. Je devais me rendre à l’évidence, j’étais en train de tomber amoureux d’une femme ayant vingt de plus que moi. Annette avait pourtant été claire dès le début de notre relation, ce devait être exclusivement physique. Elle m’avait d’ailleurs mis plusieurs fois en garde contre tous sentiments excessifs de ma part. Elle voulait du sexe, rien que du sexe. Point barre.

Après tout, autant en profiter. Ce n’est pas tous les jours que je l’avais rien que pour moi. Je me suis alors levé, bien décidé à continuer sur notre lancée. Je l’ai rejointe dans la salle d’eau. Elle était près du lavabo, vêtue d’un peignoir blanc. Elle brossait ses cheveux en attendant que la baignoire finisse de se remplir. Nous n’échangions aucune parole. Seuls des regards ou des sourires suffisaient. J’étais nu, à quelques mètres d’elle.

— J’ai très envie de toi, lui lançai-je.
— T’es vraiment un gourmand. Laisse moi me baigner et je te promets que je m’occupe de toi après. Allez, sors maintenant !

C’est un peu à contrecœur que j’ai quitté la pièce, laissant un peu de répit à celle qui me donnait tant de plaisir. Ces instants de calme et de repos m’ont permis de sortir quelques instants sur le balcon de la chambre. La vue qui donnait sur le parc était absolument splendide. C’était un superbe après-midi de printemps. Seulement vêtu d’un caleçon, je me ...

... suis allongé sur l’un des transats. J’ai du somnoler un moment, car ce sont les pas d’Annette dans la chambre voisine qui m’ont sorti de ma léthargie.

Je suis rentré dans la chambre pour aller à la rencontre de ma belle. Elle était assise sur le bord du lit, de dos par rapport à la position où je me trouvais. Seule une serviette lui entourait la taille. Le haut de son corps était entièrement nu. Un petit flacon d’huile de massage se trouvait juste à côté d’elle. De dos, je pouvais deviner qu’elle était en train d’enduire sa généreuse poitrine d’huile.

— Approche. Je sais que tu es là, me dit-elle.

Elle se leva et fit demi-tour. Elle était maintenant face à moi. Même si cela était loin d’être la première fois, sa poitrine me fascinait toujours autant. La présence d’huile sur ses deux gros seins les rendaient encore plus beaux, d’une tenue exceptionnelle pour une femme de son âge. Elle était à quelques centimètres de moi. L’extrémité de ses tétons était même en contact avec ma poitrine. Elle posa l’index de sa main droite sur ma bouche, comme pour m’empêcher de prononcer le moindre mot.

Son autre main se saisit de la mienne. Elle me tira alors lentement vers le petit canapé dans lequel nous avions fait l’amour le matin même. Debout l’un face à l’autre, Annette posa ses mains sur mes épaules et me fit asseoir au centre du canapé.

Elle ôta la serviette qui entourait sa taille. Une petite culotte de dentelle noire était le seul vêtement qu’elle portait. Elle écarta ...