1. Le Monarque : Danaus plexippus


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, cadeau, cocus, vacances, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... plaisir. Elle le fait, et moi aussi. Une façon de montrer à notre voisin qu’elle n’est que "de passage" avec lui.
    
    Et puis, mon vice me reprend. Je reviens bien plus tôt que d’habitude. Martine est encore chez Rémy. D’ailleurs, je crois qu’ils ne sont venus qu’une fois à la maison. Lorsqu’elle passe la porte, elle me découvre nu avec ma verge en érection. D’abord surprise, elle pense que je l’attends pour un "cocu content" et, laissant tomber sa serviette, elle approche pour me sucer. Elle aussi est nue. Son maillot de bain, sorte de prétexte à leur rencontre, est dans sa main. Mais je l’arrête. Je veux autre chose. Une pensée malsaine ! Une déformation de l’amour ! Un geste obscène !
    
    Je la pousse pour qu’elle s’appuie contre le dossier du fauteuil que je viens de quitter et qui est celui de ses exploits il y a quelques jours. Je flatte ses fesses et descends vers sa fente.
    
    — Marc, attends, je ne me suis pas douchée.
    
    Bien sûr que je le sais. Et j’y découvre la preuve : des plages collantes, des restes du foutre de son amant. Et c’est justement ce qui m’attire. J’ai lu quelquefois des récits où des hommes aiment prendre leur femme après un autre. Je trouvais cette envie tout à fait indécente, mais depuis que j’ai vu le foutre Rémy suinter des orifices de mon épouse, cette pensée m’obsède.
    
    — Arrête. Ce n’est pas bien.
    
    Non, ce n’est pas bien. Mais depuis quelques jours, tout ce que je fais n’est pas bien. Jeter sa femme dans les bras d’un autre n’est pas si ...
    ... bien que cela. Les regarder baiser n’est pas bien. Bander à leur spectacle est encore pire. Alors, enfiler sa femme juste après le passage d’un autre… Un peu plus, un peu moins…
    
    Je la possède. Ma queue glisse dans la semence de Rémy. Ce n’est plus une chatte mais une route de montagne enneigée et verglacée où les pneus n’adhèrent plus.
    
    — Marc ! Tu…
    
    « Tu… quoi, ma chérie ? Tu me fais du bien ? Tu es un pervers ? Tu exagères ? Et si je m’agrippe à tes hanches pour mieux te posséder, pour compenser ma petite bite comparée à celle qui vient de se vider en toi, pour que mes couilles remplies de ma propre liqueur tapent ton clitoris ! Et si j’investis ton cul avec un pouce pour constater que ce chemin aussi a été profané par ton amant ! Excuse-moi, pas profané, mais honoré par ton amant ! Tu ne dis plus rien ! Tu as raison ! Mais je pense que tu constates que ma bite est d’une dureté de bois et que mon envie si particulière lui donne une force de conquérante. Tu penses peut-être aussi que je vais suivre ton amant à la trace et que bientôt c’est ton cul que je vais bourrer ? Tu ne dis plus rien, mais j’aime la façon dont tu gémis. La façon aussi de te tortiller sous mes assauts. De te cambrer encore plus. De te caresser le petit bouton… »
    
    — Marc, oh Marc, c’est…
    
    « Oui je sais : c’est bon. D’accord, c’est spécial, mais j’adore et je sais que toi aussi. Merde, ton cul attendra. Je sens ma jouissance monter. Déjà. C’est trop tôt. Mais que je suis con… J’aurais dû prévoir ...
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