Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (3)
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... nues toutes deux. Bozena embrasse mes seins, les lèche, suce les tétons, les mordille :
— Tes beaux seins ... tes jolies mamelles !... Je voudrais tant passer une nuit d’amour au lit avec toi ...
Par moments, j’ai l’impression qu’elle délire un peu. Mais ses propos semblent sincères. Alors, je lui chuchote :
— Tu voudrais coucher avec moi ?
Elle me regarde, les yeux brillants :
— Oui, coucher avec toi ... et faire tout ce que l’on a envie !
Puis sa bouche repart à l’assaut de mes seins, avant de glisser vers mon ventre.
— Tu n’as pas peur qu’on nous surprenne ?
— Je m’en moque, je suis folle de ton corps !
— Bozena, je vais te montrer quelque chose.
Je me lève et la fais lever aussi. Puis je me colle contre elle, face à face, et nous commençons à nous frotter, sexe contre sexe. Les mains bien plaquées sur les fesses de l’autre, nous entamons un frotti-frotta endiablé avec l’idée fixe de nous exciter mutuellement et de jouir ensemble.
— Hum ! Eva, c’est bon de sentir ton con se frotter contre le mien ! C’est très excitant ! Et de voir tes mamelles ... Tu dois penser que je suis folle, n’est-ce pas ?
Puis, elle fourre sa langue dans ma bouche, me donnant un baiser torride, que je lui rends aussitôt.
— Je sens que tu commences à être excitée, chérie !
lui dis-je, alors que sa respiration s’accélère. Et puis de sentir mes mains sur ses fesses ... l’envie folle de revisiter son petit trou. Elle le sent, et, d’instinct, ses doigts se ...
... glissent dans la raie de mes fesses. Il ne faut guère de temps pour nous doigter le cul, tandis que le frottement de nos deux cons s’accélère. Nous gémissons, nous haletons, sans nous soucier du reste. Puis Bozena me glisse à l’oreille :
— Je suis ta pute ... tu es ma pute ... tu vas me faire jouir ... ma petite pute ...
Ces mots murmurés à l’oreille provoquent un pic d’excitation et, dans un gloussement, je jouis, en même temps que Bozena. Quand je m’écarte d’elle, sa chatte est mouillée de ma cyprine, laquelle dégouline sur mes cuisses.
Bozena me regarde avec tendresse :
— Je vois que ça marche, les mots crus, ma chérie ! Ça décuple ton excitation !
Puis nous remettons notre t-shirt et sortons du vestiaire. Bozena m’entraîne vers les cabines :
— Allons chercher une serviette et prenons une douche, veux-tu ?
Ce que nous faisons et nous nous retrouvons dans les douches des femmes. Bozena, toujours amoureuse, veut que nous prenions la douche ensemble. Et nous passons un agréable moment à nous savonner mutuellement.
— Maintenant que nous sommes bien propres, on pourrait aller boire un verre au buffet de la piscine ?
Bozena me regarde, visiblement amusée :
— Et ... comme ça, bien sûr !
— Évidemment, comme ça ! Il suffit de faire attention ! Je lui souris.
Elle passe par sa cabine prendre un peu d’argent et nous nous dirigeons vers le buffet qui est situé sur une sorte de mezzanine accessible par un escalier droit. Nous avons vu deux ou trois quidams ...