1. Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (3)


    Datte: 03/11/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... nous sommes fort bien accueillies et matées, bien sûr ! Des petits malins viennent même nous demander –discrètement- si nous avonsquelque chose sous notre t-shirt. Et nous ne résistons pas au petit jeu qui consiste à soulever le bas du t-shirt pour faire apparaître le slip de bain.
    
    — Je ne sais pas si nous en faisons un peu trop – dis-je, en souriant à Bozena-, mais cela m’a donné une idée pour cet après- midi ... une idée coquine, bien sûr !
    
    — De quelle sorte, cette idée ? fait Bozena, intriguée.
    
    — Enlever nos maillots et ne garder que le t-shirt ! C’est excitant ... je l’ai déjà fait !
    
    — Hum ! On va très vite se rendre compte que nous sommes nues dessous ... surtout avec les seins. Mais je suis d’accord pour le faire ! Même s’il faudra faire attention en marchant ...
    
    Le reste de la matinée se passe en bavardage. Puis nous nous rhabillons, car nous devons assurer la surveillance du repas des participants. Et quand les compétitions reprennent, vers 14 h, nous avons deux petites heures devant nous.
    
    Retour aux cabines, déshabillage complet avant d’enfiler le t-shirt et de sortir. Bozena se fait attendre un peu, mais finit par sortir :
    
    — Tu crois que c’est bien prudent ? On ne peut même pas s’asseoir ... trop dangereux ! dit-elle en pouffant de rire. Mais qu’est-ce que tu fais ?
    
    Je glisse une main sous son maxi t-shirt au niveau de ses fesses et la fais remonter jusqu’à son cou. Que de la peau nue.
    
    — Je contrôle, ma chérie ! mais tu peux en faire ...
    ... autant, tu sais !
    
    Bozena glisse sa main, mais sur le devant. Je sens ses doigts sur ma vulve, mon nombril et mes seins, nus, bien sûr.
    
    — Parfait, ma chérie ! Que faisons-nous maintenant ?
    
    — Nous allons nous promener un peu, comme ça, pour voir l’effet que ça fait.
    
    Nous marchons un peu au hasard, autour du petit bassin (inoccupé), vers les douches, dans les couloirs. Nous nous asseyons sur un banc pour voir. Difficile de cacher le sexe et si l’on croise les jambes, ce sont les fesses qui sont visibles ! Ce qui nous amuse beaucoup à vrai dire.
    
    — Tu es vraiment jolie, mon amour !
    
    Et sans prévenir, Bozena me colle un baiser brûlant tout en m’enlaçant et en me caressant les seins à travers le t-shirt.
    
    — Et si on nous avait surprises ? dis-je, pour essayer de la retenir un peu.
    
    Mais, à vrai dire, je suis tout aussi excitée qu’elle.
    
    — Bozena, nous ne sommes pas raisonnables, n’est-ce pas ?
    
    Elle me regarde, un grand sourire aux lèvres :
    
    — Sans doute, ma chérie ! Mais l’important est que cela nous fasse plaisir ! Allons dans un vestiaire, nous serons mieux !
    
    Au milieu d’un couloir, un vestiaire collectif avec des patères le long du mur et des vêtements divers accrochés çà et là, Bozena m’entraîne au fond de la pièce et nous nous asseyons sur le banc. Elle m’enlace aussitôt, m’embrassant à pleine bouche, tout en y fourrant sa langue :
    
    — Je t’adore ... enlève ton t-shirt ! Je te veux toute nue !
    
    Nous sommes excitées et finissons par nous retrouver ...
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