1. Deux salauds, trois femmes : tous cocus


    Datte: 03/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... conduis au salon et l’assieds avant qu’elle ne s’évanouisse. C’est une exquise créature, je ne comprends pas l’attitude de son compagnon. Que trouve-t-il de plus à ma femme, sinon le plaisir de remuer une déception enfouie dans son subconscient, et de salir une autre proie ou de me cocufier. S’il était vraiment amoureux de ma femme, il aurait évité de la blesser en lui imposant des rapports douloureux et il ne l’aurait pas offerte à son associé. C’est un détraqué sexuel
    
    J’expose ce que je sais. La dame reprend des forces, écoute attentivement mon récit, sèche ses larmes. Elle me prend la main et me ramène au pied du lit, dans ma chambre et ordonne
    
    - Paul, prends-moi, venge toi, venge moi.
    
    A mon grand étonnement Laetitia relève sa robe, baisse sa minuscule culotte rouge à mi-jambes. Elle pose ses deux mains sur la barre du lit, se courbe, présente, jambes écartées sous un râble splendide, sa croupe et sa fente, me tend son sexe. Le ton est déterminé, l’ordre parfaitement articulé. Blaise baisse les yeux. Au contraire, Thérèse tend son visage vers moi. Un fessier adorable me provoque, deux hémisphères potelés séparés par une ligne profonde s’ébrouent sous mes yeux, présentent sous la raie du cul un fruit fendu plus que désirable; et la voix m’apostrophe:
    
    - Pourquoi se gêner, rendons leur la pareille. Ta femme les reçoit, ils en usent volonté.Viens
    
    Malgré la fascination de ce sexe offert, malgré la révolution dans mon slip, je réussis à lever les yeux et ...
    ... rencontre le regard de ma femme. Ce qu’il exprime est indéfinissable.
    
    - Alors, ça vient, tu es encore habillé? Approche.
    
    - Un instant, je veux laisser parler ma pauvre épouse. Elle a eu tout le temps de réfléchir à ce qu’elle me dirait.
    
    J’enlève son bâillon. Elle explose :
    
    - Mais vas-y, prends-la puisqu’elle te le demande, que ce porc connaisse lui aussi ce que ça fait de voir sa femme emmanchée et collée à un autre homme. Venge-nous, punis ce salaud. Venge-la aussi.
    
    Je pose une main sur le dos de Laetitia, ouvre ma braguette, tente d’extraire un gourdin enflé par la vue du sexe à prendre. Je regarde encore ma femme. Elle attend, sa colère est évidente, mais je lis dans ses yeux une sorte d’interrogation. Laetitia s’impatiente, agite son arrière train et piaffe :
    
    - Quoi, tu es impuissant, tu n’as rien dans la culotte ? Ta femme est obligée de débaucher mon mari pour jouir? Voilà que je comprends !
    
    Laetitia s’est relevée, se retourne, main en avant, ouvre de grands yeux en découvrant mon érection formidable. C’est que je suis privé de rapports complets en raison de l’irritation chronique de Thérèse, mon envie décuple mes moyens, ma bite réclame son plaisir et la délicieuse jeune femme qui l’empoigne perd ses doutes sur mes capacités à la faire jouir. Elle se jette sur mon serpent, le porte à la bouche, l’enduit de salive., entreprend de le mordiller de la base au sommet. Je vais me laisser faire. Cette fois la vengeance sera un plat qui se mange chaud.
    
    - Non, ...
«1234...»