1. Deux salauds, trois femmes : tous cocus


    Datte: 03/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... notre passé commun à mon mari.
    
    J’interviens.
    
    - Pourquoi n’as-tu rien dit ? Ce qui avait précédé notre rencontre, notre union ou notre mariage ne comptait pas. Il n’y avait pas vraiment matière à chantage. Tu as cédé trop facilement.
    
    - J’ai eu trop peur de te perdre, s’il exécutait ses menaces. Oui, j’ai eu tort.
    
    La femme de Blaise enrage:
    
    - Mais alors, il t’avait promis… Ça ne t’a pas empêchée de recommencer tous les quinze jours à t’envoyer en l’air avec ce salaud. Pourquoi ? C’est du vice. Tant mieux s’il t’a raboté le sexe. Tu ne méritais pas mieux. On peut se laisser surprendre une fois. Après avec un minimum de bon sens, on se protège, sauf si ce type de rencontre plaît .
    
    - Ce n’est pas ce que tu crois. La première fois il a pris des photos, de lui et de moi nus, au lit ou sous la douche et me les a montrées. Certaines positions, c’était dégradant. Leur publication m’aurait salie avec le risque supplémentaire de briser ma famille.
    
    - Donc tu as choisi de te salir autrement en couchant avec mon homme, en secret ? Quelle garantie as-tu de le voir respecter sa parole.
    
    Blaise avait juré .
    
    Cette fois c’en est trop, je tiens à appuyer le discours de son interlocutrice
    
    - N’a-t-il pas juré aujourd’hui même de ne pas toucher à ton vagin si tu te prêtais à une double sodomie? Et qu’ont-il fait en réalité? Ils t’ont infligé deux pénétrations simultanées, une anale et une vaginale, malgré tes protestations. Il ne respecte pas ses promesses, un point ...
    ... c’est tout. Retiens cette leçon. Il aurait suffi dès la première fois de m’avertir et tu ne l’aurais pas revu!
    
    - Je ne savais pas qu’il recommencerait sans fin
    
    Laetitias’est placée à côté de Blaise. J’assiste alors à un spectacle inattendu. Des deux mains elle masturbe son mari, sans ménagement, elle tire sur le tube, repousse le prépuce, gifle le gland, y dépose la trace d’un ongle, secoue, agite, branle, astique. Après 36 heures de repos forcé, Blaise a repris des forces. Il nargue l’épouse cocufiée en dressant un étendard bien raide. Elle enrage, accélère les mouvements des poignets, serre, baisse, lève, tord. Ses mains montent et descendent sur la hampe inlassablement. Il gémit mais ne peut pas se soustraire à cette traite vigoureuse. La femme s’acharne:
    
    - Ah! Mon salaud, tu vas cracher. Tu as abusé d(une pauvre fille sans défense. Allez, allez. Je vais te vider les couilles, tu foutras la paix aux femmes. Crache ou je t’étrangle
    
    Elle s’écarte, le sperme jaillit en jets puissants qui tombent sur le drap et jusqu’au sol.
    
    Le mari est soulagé, mais se repent aussitôt de son absence de repentir. L’épouse furieuse reprend immédiatement la manipulation du pénis sans lui laisser le temps de baisser la tête. Elle me fixe:
    
    - Je vais le vider et lui faire passer l’envie de papillonner dans le jardin des autres. Alors mon chéri, tu aimes? Je ne te suffis pas ? Non? Dommage pour toi. Nous n’avons pas fini.
    
    La branlette devant témoins s’accentue. La torture manuelle a ...
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