Sortie en mer - Histoires de Sexe

Sortie en mer

... frisson signal » lance l’alerte : mes tétons durcissent et une sensation chaude et agréable parcourt mon sexe frémissant dans sa liberté.

— Euh… c’est assez particulier, en effet.

S’il pouvait voir l’effet réel, il en serait le premier surpris.

— Mon petit Alex, tu es un coquin. J’ai hâte d’être à samedi. Bon, passons à une conversation moins sérieuse. On se voit samedi matin à huit heures àLa Paillote, puis je t’emmène au port. Un ami, patron d’une vedette armée à la pêche au gros, nous embarque pour une balade en pêche vers la Pointe Indienne. Nous rentrerons à la nuit.
— Je me réjouis d’avance de cette sortie en mer, Alban. Que faut-il amener de particulier ?
— Rien, Alex, juste toi. Ah ! Une dernière chose : si tu ne crains pas que je trouve moyen d’envoyer mes yeux chez toi, tu peux rester nu ce soir. Bonne nuit, Alex, fais de beaux rêves.

Il raccroche, et moi je me retrouve là, à poil, le combiné à la main, tout chamboulé par cette conversation aux parfums érotiques.

Je passe la soirée sans aucun vêtement, y compris sur la terrasse où je me caresse le sexe et les tétons, imaginant que ses yeux traînent par là.

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Le samedi arrive enfin.

Je retrouve Alban comme convenu àLa Paillote et nous prenons la route du port non loin de là. J’avais pris un sac avec quelques effets : maillot de bain, serviette et chemise de rechange. Pendant le trajet, Al est silencieux mais tout souriant. Il jette souvent un œil sur moi, me ...

... détaillant progressivement. Je porte un short, et il regarde souvent mes jambes.

— Tu as de jolies jambes, Alex, avec peu de poils. Tu t’épiles ?
— Cela arrive parfois. J’ai peu de poils, et cela ne fait pas très beau. Je préfèrerais en avoir plus ou pas du tout.
— J’aimerais voir cela… dit-il du même ton suave que l’autre soir au téléphone ; je veux dire : pas du tout !

Notre conversation s’arrête car nous arrivons au bateau.

Le « patron » nous accueille :

— Je suis Jules, le patron de ce bateau, et voici mes matelots Abdou et Léon. Bienvenue à bord !

Puis il s’adresse à Alban :

— Tu aurais pu me prévenir que nous aurions à bord un si beau gosse, je me serais rasé.
— Pas de problème, Jules, t’es un beau gosse aussi ; dommage que tu n’aies pas les mêmes jambes ! fait Alban. Je te présente Alex.

Jules est grand, fortement charpenté et musclé. Sa peau est d’un noir mat et profond. Il doit venir de la forêt et non du bord de mer il ; est peut-être Téké ou Mbosi.

Abdou est fin comme une canne à pêche, grand, les muscles saillants sous son tricot troué et trop serré, comme son short d’ailleurs ; son teint est semblable à celui d’Alban, comme lui il doit être Vili.

Léon est court, massif, le nez fortement épaté. Il doit aussi provenir de la forêt, mais plus au Nord : la Likouala ou le Pool Ouest, comme le montre son teint marron mat. Ses vêtements sont aussi troués que ceux d’Abdou ; son short est déchiré, laissant deviner qu’il ne s’encombre pas de ...