1. Sortie en mer


    Datte: 02/11/2018, Catégories: hh, hbi, grossexe, bateau, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, Auteur: Bantou, Source: Revebebe

    ... retrouve presque assis sur lui, et là je la sens bien, sa grosse bite !
    
    Pas de gêne chez lui : il donne des coups de reins comme s’il forçait en tirant sur la canne. Le rouge m’est monté aux joues. Alban nous remarque, visiblement amusé par la situation : remarque la situation.
    
    — Hé, Léon, on pêche à l’hameçon, pas au harpon ! Le poisson est en mer, pas à bord !
    
    Léon rectifie la position, moi mon short qui avait été malmené. Un coup d’œil en arrière : je vois le sexe de Léon qui dépasse de son short déchiré. Bon sang, quelle matraque ! Heureusement qu’aucun poisson ne vient mordre à ma ligne car mon esprit surfe plutôt sur la vague de désir qu’il n’est concentré sur la pêche. Alban, qui avait remarqué mon trouble, me fait un grand sourire, les yeux dirigés vers mon cul. Il doit se dire à ce moment« Le petit Blanc, il est mûr pour une grosse bite d’Africain… », ce qui n’est pas loin de la vérité car depuis ce matin je suis sous forte pression érotique, et à un moment ou un autre la pression lâche !
    
    La pêche continue, mais sans aucune prise. Le temps devient long. Alban me regarde de temps à autre pour un sourire, un clin d’œil et retourne à sa ligne.
    
    Après une heure sans aucune touche – je ne parle pas de celle de Léon – le patron ralentit son bateau et vient nous voir.
    
    — D’expérience, je sais qu’aujourd’hui on rentrera bredouille. Je vous propose d’arrêter la pêche, de nous rapprocher de la côte, de prendre un bain puis de casser la croûte car je commence ...
    ... à avoir les crocs.
    
    Alban me regarde d’un air interrogateur.
    
    — Qu’en penses-tu, Alex ?
    — C’est une bonne idée. Quelques brasses et quelque chose à manger me vont bien.
    
    Ouf ! Je commençais à m’ennuyer.
    
    Les cannes sont rangées et on fait route vers la côte à belle allure, où nous arrivons quelques minutes plus tard. Le patron manœuvre pour mouiller la « pioche » (l’ancre, chez les marins).
    
    — La baignade peut commencer, crie Jules du haut de la passerelle supérieure.
    — En tenue, Alex, c’est le moment de nous montrer à quoi servent de si beaux pectoraux, me fait Alban.
    
    Je vais dans la cabine mettre mon maillot de bain et prendre une serviette. J’ouvre mon sac et m’exclame :
    
    — Oh, zut, je n’ai pas mon maillot !
    — Que t’arrive-t-il, Alex ? me fait Alban en arrivant dans la cabine.
    — J’ai oublié mon maillot… fais-je à Alban, embarrassé.
    — C’est bête, tu vas devoir te baigner en slip.
    — Euh, je ne préfère pas.
    — Pourquoi donc ?
    — Il est tout petit !
    — Comme un string ?
    — Oui.
    — Alors dans ce cas on se baigne nus : je n’ai pas de maillot non plus ! fait-il en enlevant son bermuda et son boxer.
    
    Je suis pantois d’indécision et d’admiration devant le corps nu d’Alban. Qu’il est beau ! Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux vers son sexe. Magnifique ! Il est de belle taille, long et épais à la base, plus fin à l’extrémité où rayonne un gros gland, pointu et légèrement rosé. Ses testicules sont très gros et sans poils ; il en a très peu sur le corps ...
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