1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (5/13)


    Datte: 01/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... toutes les positions se sont présentés à nous.
    
    Au début, comme certains vieux libidineux, je les regardais, je comparais mes seins avec ceux des femmes que je croisais.
    
    Souvent à mon avantage même avec la différence d’âge.
    
    J’en étais même arrivée à leur donner des noms.
    
    « Poires, oreilles de cocker, petit mais gentil avec de grosses fraises, pommes bien sûr, plutôt pamplemousse genre les miens. »
    
    Les bites aussi, mais là, je m’arrêtais vite car toutes finissaient par faire 25 centimètres comme celle de Joël que je vais retrouver ce soir mais hélas recouverte d’un pantalon.
    
    Nous remontons la plage vers la rue de l’immeuble de Josyane, j’ai bien dit cinquante mètres, mais cinquante mètres de pur délice, je finis par être fière de notre nudité.
    
    C’est dans l’ascenseur qu’une question me vient.
    
    - Dis-moi, dans quel genre de restaurant Joël travaille-t-il ?
    
    - Surprise, si je te le disais, ça gâcherait le plaisir.
    
    - Tu m’intrigues, j’ai vu que vous vous faisiez un clin d’œil.
    
    - Tu as mal vu, certainement un grain de sable avec le vent.
    
    J’aurais pu lui faire remarquer qu’en plus du soleil, la mer était d’huile, pas la moindre brise sur l’eau, mais j’aime les surprises et comme en prime c’est Joël qui va nous servir, je suis aux anges.
    
    - Et dis-moi, 22 heures pour un restaurant, c’est tard.
    
    - Sur la côte on est à l’heure espagnole pour les repas.
    
    Nous irons prendre l’apéro à deux pas vers 20 heures, ça nous fera patienter.
    
    À l’heure ...
    ... dite, je suis pomponnée comme elle.
    
    Nous avons partagé la salle de bains, la nudité m’est devenue familière.
    
    C’est Josyane qui va dans le placard où j’ai sorti mes affaires de ma valise, mais elle amène sa touche personnelle.
    
    Nous étions ensemble quand elle a préparé les siennes, porte jarretelle mais sans culotte, vais-je réussir à sortir la chatte à l’air sous l’une des minis que j’ai apportée ?
    
    Nous sommes de taille identique, elle me passe des bas noirs résilles avec là aussi un porte-jarretelle de même couleur.
    
    Si à Besançon, je sortais sans culotte qu’en penserait Pierre, sera-t-il vieux jeux et me prendra-t-il pour une salope ?
    
    Comme deux sœurs, nous prenons le chemin d’un bar à vins que connaît mon amie.
    
    - Josyane, tu nous manquais que deviens-tu ?
    
    Tu nous as amené une amie, elle est nouvelle ici.
    
    D’où es-tu ?
    
    Sympa ses copains, ils me tutoient directement, je fais la connaissance de Nicolas, petit et un peu rondouillard.
    
    Carl avec son amie Sylviane, lui très grand le crâne rasé, elle comme lui, la quarantaine avec des seins plus développés que les miens.
    
    Comme nous elle est en mini ce qui lui va bien, surtout qu’elle a un chemisier blanc qui fait apparaître ses aréoles brunes.
    
    Il y a aussi trois autres garçons, Christophe, Luc et Adrien.
    
    Trois garçons bien mis de leur personne avec qui j’aurais plaisir à batifoler.
    
    Je deviens aussi folle que mon amie, Joël nous m’attend.
    
    - Vous tombez bien mes amies, Nicolas veut nous ...