Humidité ambiante
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
hh,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
hdanus,
hsodo,
yeuxbandés,
Auteur: Julien Saint-Honoré, Source: Revebebe
... fesses. Il joue avec les poils sur mes parties charnues, glissant peu à peu vers leur intérieur. Je m’appuie contre le mur, et enlève mon pantalon totalement, le mettant de côté d’un petit coup de pied, puis me cambre totalement, lui laissant l’accès complet à ma rosace, encore ouverte de la nuit de débauche de la veille. Didier passe un doigt contre le sphincter et la chaleur qui s’en dégage et le degré d’ouverture le rendent fou d’excitation. Sans perdre une seconde, il se baisse, pose ses mains des deux côtés de mes fesses pour les écarter, et plonge sa langue contre ma rosace. Je gémis de bonheur - c’est une pratique que j’apprécie particulièrement, car elle est à la fois très intime, très douce et en même temps terriblement excitante, car on le sait bien qu’elle prépare à la pénétration d’un membre à la suite de la langue… Il me mange tout cru, introduisant sa langue en pointe profondément dans mon anus qui se dilate rapidement, en alternant avec de grands coups du plat de langue, de la base de mes couilles au bas de mon dos. C’est délicieux et je frissonne du contraste entre l’humidité froide qui nous recouvre et la douce chaleur montante de mon intérieur. Il se rapproche encore plus de moi, toujours accomplissant des merveilles linguales, et passe ses mains sous mon pull, pinçant doucement mes tétons raidis par le froid et l’excitation combinés. Le gémissement accentué que je pousse ne le trompe pas et il accentue la pression, allant jusqu’à y mettre les ongles, tout ...
... en me léchant l’anus à pleine bouche. Il s’arrête soudain, me retourne violemment, et m’embrasse profondément, me faisant goûter les arômes de mes tréfonds, mélanges subtils de sueur, de sucs corporels, de parfum et de son haleine poivrée. Il me fait bander comme un beau diable.
Didier me retourne de nouveau et fait glisser son érection de plus en plus dure dans ma raie poilue. Je passe une main sur son gland que j’imagine violacé, puis parcourt sa hampe du bout de mes doigts, appréciant chaque veine saillante et la savourant à l’avance. Il continue à sa manière si particulière, mélange de câlin, de grande tendresse, et de sexualité exacerbée, à la manière d’un satyre. Je m’attends presque à lui trouver des sabots et deux longues cornes, mise à part celle qu’il a entre les jambes, bien entendu. Je me cambre encore plus, branlant son magnifique sexe entre mes deux fesses. Son gland vient se planter contre mon anus, qui se contracte de surprise, comme voulant l’aspirer. Le coquin a bien fait son affaire, et sa salive, étalée en grande quantité et répandue dans mes entrailles fait un parfait lubrifiant. Je sens avec soulagement les contours de son gland passer mon sphincter boursouflé, qui se referme sur sa couronne. Je savoure - c’est gros. Il pousse un long gémissement de bonheur et je sens son sexe tressauter : il jouit ! Il n’a pas même pas entré un centimètre de plus que son gland. Je vais pour protester, déçu, mais il se penche à mon oreille, haletant : "Patience." Il ne ...