1. Les ouvriers de Madame


    Datte: 09/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byelko, Source: Literotica

    ... elle ne porte rien a part un soutien-gorge…Selon les instructions de sa bonne, Alexia, dont elle est devenue la soumise…
    
    Les ouvriers s’exclament…
    
    — Putain, elle a rien sous sa veste…Quelle salope de bourge !
    
    On ouvre la veste et on baisse les balconnets du soutien-gorge ; Les gros seins de Madame apparaissent, aussitôt malaxés par des mains avides…On tire sur la pointe des tétons…Madame gémit.
    
    On retourne Marie-Hélène et on lui attache les mains avec une corde sur les barres de l’échafaudage ainsi que les chevilles. Elle se retrouve à la merci de ses ouvriers…Qui doivent se régaler à l’idée de baiser une bourgeoise bourrée de fric, ça leur changera de bobonne…Un des ouvriers, un moustachu, retrousse la jupe du tailleur. Les bas cubains apparaissent ainsi que le porte-jarretelles. Il écarte le string de Marie-Hélène. Madame rue, et crie…
    
    Le patron monte sur l’échafaudage et enfonce dans la bouche de Madame un chiffon sale roulé en boule…
    
    Madame gémit, poussant des cris indistincts à travers son bâillon improvisé. Pour la faire taire, un des ouvriers, prénommé, Carlos, lui frappe le cul.
    
    — Tais-toi, salope ! On va te baiser ma chienne, tu verras ça va te changer de tes petits minets de la haute de te faire ramoner par de vrais mâles.
    
    Il se retourne et se saisissant d’un de ses pinceaux, il enfonce le manche dans la chatte de Madame. Un autre des ouvriers, un Yougoslave s’appelant Milan, prend des photos avec son portable.
    
    Mort de rire de voir ...
    ... l’épouse du Maire avec un pinceau dans sa chatte.
    
    Carlos fait coulisser le manche du pinceau. Pendant ce temps là, le peinte qui était resté en bas est monté, attiré par les cris…
    
    Marie-Hélène, gesticule dans ses liens faisant trembler l’échafaudage…
    
    Elle sent le pinceau qui s’agite de plus en plus vite, puis on le retire, on lui enfonce une bouteille de bière…Elle gémit.
    
    Milan fait coulisser le goulot de la bouteille de bière…Carlos sort sa queue et se masturbe, très vite sa bite prend des dimensions impressionnantes…
    
    Il pousse Milan, retire la bouteille et pénètre Madame en s’agrippant à ses hanches.
    
    Madame pousse un cri étouffé. Elle sent la bite qui la martèle. Ses gros seins gigotent dans tous les sens. Le ventre de l’ouvrier vient cogner contre son ventre. Madame sent sa chatte s’humidifier. Le patron monte sur l’échafaudage et retire le chiffon de la bouche de Marie-Hélène qui aspire une goulée d’air. Il ne lui laisse même pas le temps de protester et lui enfourne sa bite dans sa bouche pulpeuse. Il prend un plaisir pervers à faire coulisser sa queue entre les lèvres rouges de cette femme si distinguée en tailleur chic…Madame, la bouche déformée par la bite, émet des borborygmes…Elle enroule sa langue autour du gland de son ouvrier…Pour ne pas s’étouffer, elle le recrache et le patron la force à lui sucer les couilles…
    
    Carlos s’agite de plus en plus dans la chatte de Marie-Hélène. Il sent le plaisir monter de ses reins. Il sort précipitamment et éjacule ...