1. Les ouvriers de Madame


    Datte: 09/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byelko, Source: Literotica

    Suite au décès de son père, Marie-Hélène, la distinguée épouse du maire d’une ville huppée de la région parisienne (dont vous avais déjà lu les récits de quelques unes de ces aventures sexuelles plus ou moins consenties) Madame, donc, avait hérité d’une maison de campagne. En très piteux état. Elle avait donc fait appel à une entreprise pour la remettre en état. Le chantier avait commencé depuis plusieurs mois quand Madame décida un week-end d’aller voir si les travaux avançaient.
    
    Madame arriva le vendredi vers 16h et gara son cabriolet BMW devant la maison. Elle sortit de son véhicule et avança en faisant une moue dégoûtée. Il avait plu la veille et il y avait de la boue. Faisant bien attention de ne pas tacher ses escarpins italiens, elle se dirigea vers la maison. Elle entend la radio et les rires des ouvriers ce qui l’agace au plus au point.
    
    « Et voila ! Je m’en doutais ! Ils sont là à rigoler au lieu de bosser »
    
    Elle rentre dans la maison et tombe nez à nez avec le peintre qui est en train de boire une bière.
    
    Elle explose de fureur.
    
    — Au lieu de picoler, vous ne pouvez pas bosser non ? Où est votre patron ?
    
    Le peintre lui montre l’étage sans paraitre comprendre…Elle sait que le patron de l’entreprise emploi beaucoup d’ouvriers d’origines étrangères : portugais, espagnols, yougoslaves…Sont ils déclarés au moins se demande t’elle en montant les escaliers…
    
    Elle ne se rend pas du tout compte par contre que le peintre, rester en bas, lorgne sur ses ...
    ... jambes gainées de bas cubains. Sa dernière folie en matière de sous-vêtements sexy…
    
    Elle arrive en haut et découvre les trois autres ouvriers, dont le patron, qui eux aussi se prélassent.
    
    Là c’est trop ! Madame est folle furieuse !
    
    S’adressant au patron, un homme aux cheveux blancs, gros et sale, un cigare dans le bec, elle hurle :
    
    — Mais où vous croyez vous ? Vous n’avez pas avancé d’un pouce depuis ma dernière visite ! Vous vous imaginez que je vais vous régler la note sans rien dire ?
    
    Le patron s’avance suivi d’un de ses ouvriers.
    
    — Allons ma p’tite dame, ce n’est pas la peine de s’énerver…Je vais vous montrer, on a bien avancé vous savez…
    
    Madame étouffe, il se fout d’elle en plus !
    
    Elle fait demi-tour et lance :
    
    — Je vais vous faire une réputation ! Vous pouvez la fermer votre entreprise ! Vous ne savez pas qui je suis, j’ai des relations ! Et je vais voir les flics, je suis sûre qu’ils ne sont pas déclarés vos employés…Qu’ils retournent dans leurs pays !
    
    Et Madame, faisant claquer les talons aiguilles de ses escarpins sur le plancher fais mine de sortir de la pièce.
    
    Aussitôt rattrapée par les ouvriers…Le patron lui saisit le bras l’agrippant par la manche de son élégant tailleur noir. Elle se retourne et le gifle !
    
    Plusieurs mains s’emparent de Madame et on l’approche d’un petit échafaudage qui est situé au milieu de la pièce. Madame crie, gesticule…Elle sent qu’on lui caresse les seins par l’échancrure de la veste de son tailleur…Dessous, ...
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