1. COLLECTION LESBIENNES. La mère supérieure du couvent (1/4)


    Datte: 09/02/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... serons entre nous, je te tutoierais, viens m'aider à défaire mes vêtements et faire ma toilette.
    
    Pour la première fois, je me retrouve à défaire les vêtements d'une autre femme, qui plus est une bonne sœur, je vais pour lui frotter le dos quand je remarque des zébrures sur son dos, je suis interloquée.
    
    • Tu regardes mon dos, tu sais, même chez nous les serviteurs de Dieu, la chair est faible, il est difficile de tous dire à notre bon curé, alors certaines de nos sœurs dont je fais partie se flagellent pour expier nos pêchers.
    
    • Moi aussi devrais-je me flageller ?
    
    • Avec le temps, tu jugeras par toi-même, mais je t’aiderais, nous devons nous entendre, viens me laver le dos, tu prends du savon que tu places doucement, ma dernière flagellation date de trois jours et mes épaules sont encore à vif.
    
    C’est bien, tu es une bonne fille, descends lentement vers mes fesses avec ta patte mouille savonné, oui, c’est bien, maintenant passe là entre mes deux hémisphères, lentement, on a tout le temps, arrête.
    
    Non, continue, doucement, force un peu sur mon petit trou, mais tu es une petite cochonne, tu me rentres un doigt dans l’anus, passe ton autre main par-devant, non sans le tissu, à main nue.
    
    As-tu déjà fait cela à une fille Aurore ?
    
    • Non, ma mère, vous êtes la première femme que je vois nue.
    
    • Quand nous sommes entre nous, pas de ma Mère entre nous, tant que tu seras à mon service et que nous serons seules, appelle-moi Séraphine, c’est le nom que m’ont ...
    ... donnée mes parents à ma naissance.
    
    Alors, tu ignores ce qu’est un clitoris, à moins que tu ne te caresses, quand tu es seule toi aussi.
    
    • Une seule fois, je vous le jure, Madame, pardon, Séraphine.
    
    • Laisse-moi m’allonger, je vais te donner ton premier court d’anatomie féminine, car ici à part notre vieux curé, les seuls instruments que nous avons à notre disposition, ce sont nos mains et des cierges.
    
    • Séraphine, je rougis, allez-vous m’apprendre !
    
    • Tu veux que je t’initie à mes jeux lubriques qui invariablement vont te conduire vers la punition que je serais obligé de t’infliger, si tu es prête, je serais enchantée, j’aime fouetter mes novices.
    
    Regarde, j’écarte mes grandes lèvres, que vois-tu ?
    
    • Une grosse excroissance tout en haut.
    
    • C’est mon clitoris, il est développé comme pourrait l’être le sexe d’un homme, prend le dans ta bouche, et suce-le, ta maman t’offrait des sucettes quand tu étais petite ?
    
    • Oui, lorsque j’étais sage.
    
    • Tu as été très sage depuis que nous sommes rentrés dans nos chambres, tu as bien mérité une sucette.
    
    C’est ainsi que je fais minette à une femme pour la première fois, elle jouit sans aucune retenue, criant son plaisir, je comprends les sourires narquois des autres sœurs, elles connaissaient le penchant de leur mère supérieure à s’amuser avec nous.
    
    Moi qui croyais trouver le temps long dans ce couvant, je sens que la vie va être pleine d’imprévu.
    
    Elle tombe d’épuisement, je rejoins ma cellule pour y trouver ...