1. COLLECTION LESBIENNES. La mère supérieure du couvent (1/4)


    Datte: 09/02/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... auprès du curé de notre village, j’ai toujours eu des pensées autres de toutes ces bondieuseries, mais dans mon époque, ce que décidaient nos parents tenait lieu d’évangile.
    
    Un point positif tout de même, c’est la première fois depuis les mains de maman dans ma petite enfance, qu’une femme, non des femmes touchent mon corps, avant de me faire enfiler ma petite culotte en pilou.
    
    • Aviez-vous déjà vu une telle toison rousse ?
    
    • Rouge, tu veux dire Marie-Madeleine.
    
    • Oui, tu as raison, notre mère supérieure devrait beaucoup aimer, sœur Virginie qui rejoint les cuisines était blonde comme les blés.
    
    • De quoi parlez-vous mes sœurs, vous m’intriguez, maman m’a dit que la vie dans notre ordre était contemplative.
    
    • Pour contempler, tu vas contempler et même de très près, mais arrêtons de cancaner, Aurore est prête, écoutez, la cloche de la prière retentie, suis-nous, pendant le temps de la prière plus un mot.
    
    Ce sont mes premiers pas dans cette immense bâtisse, je suis les sœurs, les mains jointent comme elles.
    
    Le temps des prières passées, nous sommes réunis pour le repas, sœur Marie m’assoit à sa droite, elle-même assise à celle de la mère supérieure.
    
    Repas frugal, mais suffisant, car équilibré avec féculents, légumes sans oublier les fruits.
    
    • Les légumes sont de notre potager, je t'y emmènerais.
    
    • Sœur Marie, vous savez que nos repas doivent se faire en écoutant notre sœur Anaïs lire des pages de l'évangile.
    
    • Pardon, ma mère, vous avez ...
    ... raison.
    
    • Tu viendras me voir pour recevoir ta punition, je veux du respect du travail des autres dans le couvent que j’ai l’honneur de diriger.
    
    Ma prise de contact avec la mère supérieure semble tendue, jusqu'à ce qu'elle se lève.
    
    • Merci, sœur Anaïs, je vous autorise à aller manger, mes sœurs, vous savez toutes que nous avons une nouvelle nonne conduite par ses parents auprès de nous.
    
    Sa famille a fait don à notre communauté d'une valeur en or qu'elle renouvellera chaque année, à ce titre elle rejoindra sœur Maria à la gestion de notre couvent, car elle a commencé des études en comptabilité qui nous sera très utile.
    
    J'ai demandé à sœur Marie de lui donner la cellule de sœur Josette qui l’a rejoint à la buanderie dans la gestion de notre linge.
    
    Sœur Aurore en plus de son travail dans le bureau sera ma nouvelle assistante, comme le faisait sœur Josette et quelques-unes de vous dans le passé.
    
    Bonne soirée à toutes, demain debout à 6 heures pour notre première prière.
    
    Je remarque des sourires ironiques, mais en prenant garde, car la mère supérieure semble être une femme entière.
    
    C'est normal, il y a vingt-trois sœurs dont cinq novices, pardon, six avec moi.
    
    Comme un gentil toutou, me demandant tout ce que ces sourires narquois, ce qui va m’arriver.
    
    • Sœur Josette, pardon sœur Aurore, tu vois qu'il y a une porte de communication avec ma cellule, ce sont les seules, car je dois pouvoir avoir ton aide à tout moment au cours de la nuit.
    
    Quand nous ...