Ma femme prend le contrôle (1) - Histoires de Sexe

Ma femme prend le contrôle (1)

... gonflées de désir, les fouillait.....

Elle avait saisi ma tête entre ses mains, la maintenait sur son ventre.

— Oh oui, c’est boonnnn ! Tu sais me faire jouir aussi bien avec ta langue qu’avec ta queue !!!

Continue, continuuueeee !!!!

Elle haletait, gémissait, se tordait en tous sens... elle coulait comme une fontaine et je lapais avec avidité son jus d’amour quand elle m’a emprisonné entre ses cuisses en laissant échapper un long râle de plaisir.

Elle est restée un long moment immobile, reprenant son souffle, et je sentais ses cuisses nerveuses se crisper sur mes tempes au rythme des spasmes de jouissance qu’elle ressentait encore.

— Viens !

Je me suis agenouillé près d’elle et nous avons échangé un long baiser d’amour.

— T’es dégueulasse, tu sais ce que j’aime, tu m’as fait jouir comme une folle... à moins que ce ne soit mon petit vibro ajouta-t-elle.

Humm, je vois que rien que d’en parler, ça te fait de l’effet, tu es déjà tout dur.

Je suis sûre que tes petites couilles sont bien pleines, fit-elle en me caressant de manière impudique.

Voyons s’il te fait le même effet.

Elle s’est agenouillée à son tour près de moi.

— Non, reste comme ça ! Cambre-toi un peu plus !!

Elle a glissé son joujou entre mes fesses, le faisant aller et venir, s’arrêtant sur mon petit trou qui frémissait de désir.

— T’as envie, hein ?

Puis, le présentant devant ma bouche :

— Allez, suce le bien, il faut qu’il soit bien lubrifié.

J’ai gobé ...

... l’objet comme un affamé.

— Oui ! comme ça, c’est bien, continue !! Tu vas voir il va rentrer facilement dans ton petit cul de salope.

Tu veux bien être ma petite salope, hein ?

—.............

— Regarde, il glisse mieux maintenant.

Elle titillait mon petit trou qui, à chaque fois, se contractait malgré moi.

— Tu sais, si tu veux qu’il rentre, il faut que tu t’ouvres tout grand.

Les vibrations m’électrisaient, je tremblais d’envie...

Enfin, d’une poussée plus forte, elle le fit entrer.

— Tu aimes ça, hein ? Mais interdiction de jouir tout de suite. Je veux que tes petites couilles soient bien dures, bien pleines !

Regarde !

Elle s’est glissée sous mon ventre et a gobé mon sexe avant de reprendre ses va-et-vient.

J’ai étouffé un gémissement.

C’était une sensation exquise que de sentir mon sexe dans bouche chaude, sa langue qui le caressait et les vibrations de son joujou qui me fouillait délicieusement.

Il ne m’a pas fallu longtemps pour jouir et décharger à longs jets dans sa gorge.

Elle a délaissé le vibro pour me masser les couilles, comme pour en extraire tout le jus qu’elles contenaient, me suçant, m’aspirant avec une frénésie que je ne lui connaissais pas.

Enfin, nos deux corps se sont calmés et je me suis affalé à ses côtés.

Elle a posé sa bouche sur la mienne, sa langue a forcé mes lèvres...

— C’est bon non ? C’est ton jus d’amour, mon chéri.

J’ai adoré te faire jouir comme ça, et toi, tu m’as bien fait jouir ...