Ma femme prend le contrôle (1) - Histoires de Sexe

Ma femme prend le contrôle (1)

Quand je me suis marié, notre sexualité était... disons... classique.

J’adorais prendre ma femme en levrette, la faire gémir, jouir, avant de décharger ma semence dans son ventre.

Elle aimait bien la position du missionnaire pour caresser mes petites fesses rebondies.

Avec le temps, elle s’est même enhardie à glisser un doigt indiscret entre mes fesses, et, à chaque fois qu’elle venait titiller mon petit trou, je ne pouvais m’empêcher de haleter plus fort, et de le sentir se contracter malgré moi.

— Tu as l’air d’aimer ça, mon salop, me disait-elle en riant.

C’est vrai que tu as un beau petit cul ! Si j’étais un mec, je crois que je me régalerais.

Et lorsqu’un jour elle a poussé plus fort, je me suis ouvert comme un fruit mûr et j’ai lâché ma semence en gémissant.

— Humm, et ben dis donc, je ne pensais pas que ça te ferait cet effet ! Tu es une petite salope, dis donc.

Dès lors, notre sexualité a changé.

Je devais la faire jouir autant de fois qu’elle voulait, mais interdiction de décharger !

Puis, elle jouait avec mon cul, l’effleurait, l’abandonnait, jusqu’à ce que, ivre de désir, je pousse mes fesses vers sa main pour qu’elle me pénètre enfin.

— Noonnnn ! Tu n’as pas le droit, me disait-elle en riant. C’est moi qui décide quand tu dois vider tes petites couilles !

Et je veux qu’elles soient bien pleines !

J’ obéissais, gémissant comme une chienne en chaleur jusqu’à ce qu’elle décide de me faire jouir.

Elle me pénétrait ...

... brutalement, me titillant, jusqu’à ce que j’ai lâché toute ma semence, ou bien me caressait, puis retirait son doigt en me disant :

— Allez, bouge ton petit cul. Viens chercher ta récompense !

Je me tortillais en tous sens, cherchant ce contact que j’aimais tant jusqu’à ce qu’elle me dise :

— C’est ça que tu veux ?

Et elle me fouillait lentement d’un doigt agile.

— C’est bon, non ??

Je m’affalais sur le ventre en gémissant et me vidais en longs spasmes de bonheur.

Puis elle me caressait le visage, le dos, les reins, avec douceur, me laissant reprendre mon souffle.

— Tu es une petite salope, mais j’adore te faire jouir comme ça, me murmurait-elle souvent.

Et puis un jour, en rentrant du travail, je l’ai trouvée sur le lit.

Elle n’avait gardé que ces bas.

— Viens me baiser, j’ai envie, j’ai envieee !!!!

Je l’ai rejoint rapidement. Elle était trempée de désir.

— Mais qu’est-ce qui t’a mis dans cet état, demandais-je ?

— C’est ça, fit-elle en fouillant sous l’oreiller.

Elle me présentait un superbe vibromasseur, très réaliste.

— J’ai cru que je ne pourrais pas attendre que tu sois là, ajouta-t-elle. Dans ma petite chatte et sur mon clito, il me fait un effet !

Tu vas voir !

Et avant que je ne réagisse, elle promenait son joujou entre mes fesses, cherchant mon petit œillet qu’elle a vite trouvé.

Ce fut comme une décharge électrique : j’ai fermé les yeux, le souffle coupé.

— Attends, dit-elle, il faut le lubrifier un peu.

Elle a ...