1. Ginger - Chapitres 3 & 4


    Datte: 28/10/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, jardin, hotel, douche, telnet, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, uro, sm, Auteur: The sexy squirrel, Source: Revebebe

    ... main qui se pose dans le creux de ses reins. Mon index qui commence à palper les plis de son œillet. Une demi-phalange qui s’y inséra délicatement.
    
    — Détends-toi Ginger, je ne vais pas te faire de mal.
    
    La première phalange complète, mais impossible de creuser plus profond. Par nos tchats, je la savais vierge de cet orifice. Donc étroite. Et fort logiquement stressée que je vienne y fouiner, ce qui n’arrangeait rien. Mais je savais comment la relaxer. Du pouce, je tournai la molette du pommeau de douche pour obtenir une aspersion plus énergique. Que j’orientai directement sur sa chatte. Sursaut.
    
    — Pas bouger !
    
    Après avoir balayé ses lèvres, je concentrai le jet sur son clitoris. Elle couinait d’excitation en tremblotant. J’ai profité d’avoir détourné son attention pour enfoncer mon doigt de quelques centimètres supplémentaires dans son anus, et même débuter un va-et-vient. Quand j’ai entendu venir sa jouissance, je l’ai planté aussi loin que je le pouvais. Entièrement en fait, dans un étau où je ressentis chaque spasme. Son plaisir était consommé quand je m’en suis dégagé. Je l’ai ensuite séchée autant que câlinée avec une grande serviette de bain.
    
    Le reste de la journée se déroula paisiblement. Je n’avais pas l’intention de la monter. Toujours la garder dans l’incertitude. Je vaquais à mes occupations, Ginger tournait autour de moi, cherchant à s’attirer les bonnes grâces de son maître. Je l’ai autorisée à me tailler une pipe pendant que je regardais la ...
    ... télévision. Une pipe suave. Sous mes directives, elle se perfectionnait en la matière. Mais je contrôlais, je faisais volontairement durer, à ce qu’elle en ait des crampes aux mâchoires. Ses efforts furent finalement récompensés par une copieuse lampée de sperme qu’elle ingurgita sans sourciller. J’étais perfectionniste :
    
    — Nettoie-moi bien Ginger.
    
    Avant de la ramener à la gare, je remarquai que quelque chose la tracassait. Elle ne tenait pas en place, elle tortillait de l’arrière-train en geignant. Je la questionnai sur son besoin. Mais bien sûr, ses besoins naturels justement ! Je vis dans son regard que j’avais deviné juste.
    
    — Mais tu sais qu’il faut sortir le chien pour cela ?
    
    Un regard implorant. Non, rien ne lui serait épargné. Elle n’aurait pas droit aux WC des humains. Je l’ai remise en laisse et je l’ai conduite au fond du jardin.
    
    — Vas-y Ginger.
    
    Elle était désemparée. Pisser devant moi, c’était un nouveau cap mental à franchir dans sa soumission. Je pris un ton agacé :
    
    — Allez, dépêche-toi, je n’ai pas que ça à faire.
    
    Certainement aurait-elle préféré s’abstenir. Ou être bloquée par la gêne. Mais l’envie était trop forte, sa vessie trop pleine. Elle a fléchi le bassin en écartant les jambes. Le filet clair de son urine s’écoula sous mes yeux pour former sur le gazon un ru qui finit par tarir. J’ai alors essuyé sa fourche avec un kleenex en commentant :
    
    — Tu vois, ce n’était pas si terrible.
    
    Nous sommes remontés dans la voiture, elle la ...