1. Ginger - Chapitres 3 & 4


    Datte: 28/10/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, jardin, hotel, douche, telnet, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, uro, sm, Auteur: The sexy squirrel, Source: Revebebe

    ... me déshabillai sans la quitter des yeux. Tout son corps piaffait mais elle ne broncha pas. Je grimpai à mon tour sur le lit. Une petite tape sur le flanc.
    
    — En levrette.
    
    Elle se redressa sur ses pattes. Une bonne petite femelle en chaleur.
    
    — Tu veux te faire monter par ton mâle, Ginger ?
    
    Son « oui » était presque une supplication. Je lui administrai une claque sonore sur la fesse.
    
    — Pas parler !
    
    Je guettai sa réaction. Une sorte de jappement qui valait demande de pardon et acceptation de la punition. Mon érection n’en fut que renforcée. Impossible de retarder l’échéance dans ces conditions. Je l’ai pénétrée d’un trait, jusqu’à la garde. Un délice. Pour elle aussi, à en juger par son feulement de plaisir.
    
    La suite se déroula sans aucune tendresse. Cela devait être animal. Des coups de reins puissants pour bien marquer mon territoire. Des séries rapides en m’accroupissant pour mieux la couvrir. Ses gémissements marquaient l’intensité et le rythme du coït. Elle subissait, et elle aimait ça. Encore plus quand je faisais rouler les tétons de ses mamelles entre mes doigts.
    
    J’ai plaqué son visage contre un oreiller pour lancer le sprint final, conclu par ses cris de jouissance et mon éjaculation quasi-simultanée. Je suis resté planté en elle de longues minutes, comme un chien reste soudé à la chienne qu’il vient de saillir. Retrait, douche, rhabillage. Descendue du lit, Ginger m’attendait docilement pour que je lui enlève son collier. Je la laissai redevenir ...
    ... Séverine en fermant la porte derrière moi.
    
    Nous avons renouvelé ces rencontres libertines au cours des semaines suivantes. Savoureuses sur le plan sexuel. Elle suçait mieux, avalait même. Je la culbutais toujours aussi bestialement, gage de son orgasme. Mais il m’est vite apparu qu’une chambre d’hôtel n’était pas le lieu adapté pour le dressage de ma petgirl. Trop exigu dans l’espace, trop bref dans le temps. La solution était sous mes yeux : j’habitais une maison de campagne de la Seine-et-Marne profonde, avec un grand jardin clos. Le cadre idéal pour l’épanouissement de ma chienne. Il fallait néanmoins régler quelques détails logistiques. Ce que je fis par mail.
    
    Elle approuva dans l’heure. Prometteur. J’avais dix jours pour faire fumer les vitres de ma voiture afin que Séverine puisse se dévêtir à l’abri des regards indiscrets. J’espérais bien que cet investissement serait très rentable.
    
    – CHAPITRE 4 –
    
    Samedi, 13 h 19, gare de Fontainebleau. Le train en provenance de Paris était arrivé depuis trois minutes, à l’heure. Ce n’était pas l’affluence des jours de semaine, le parking était presque désert. J’avais pu, du coup, me garer en présentant l’arrière de ma voiture pile en face la sortie. Séverine tomberait nez-à-nez dessus.
    
    Je tapotai sur mon volant, les yeux rivés dans le rétroviseur. La voilà, impossible de rater sa belle chevelure blonde. Une jolie robe serrée à la taille par une ceinture, s’arrêtant sous les genoux. Des escarpins. Une paire de lunettes ...
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