54.7 T’en as jamais assez, toi…
Datte: 28/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... celle-là…
« O… oui… » je finis par bégayer.
« On dirait bien… » fait-il en constatant l’état de mon sexe.
Jérém se tourne alors sur le flanc, se penche sur moi ; il commence à me branler, tout en mordillant doucement l’un de mes tétons.
Je frissonne de plaisir. S’il continue de cette façon, lui aussi il va m’avoir, et très vite. Mais le bogoss a d’autres projets.
« Installe-toi au bord du lit… ».
Un instant plus tard je me retrouve dans ses bras, exactement comme lui il l’a été dans les miens quelques minutes plus tôt ; bonheur inouï que d’être enveloppé par la puissance chaude et musclée de son corps de rugbyman, un corps qui semble bien décidé à m’offrir le même plaisir que je viens de lui offrir.
Sa main est enserrée autour de ma queue, elle me branle ; son autre main se balade sur mes pecs, ses doigts s’amusent avec mes tétons ; ses lèvres et sa langue se promènent sur ma peau, mordillent mon oreille : c’est exactement ce que je lui ai fait quelques minutes plus tôt, le contact avec les poils de sa barbe en plus.
Décidemment, cette position est un truc de fou. Son attitude aussi est un truc de fou. Je suis hypersensible des tétons ; quant à ma queue, elle est dans un état d’excitation qu’elle ne va pas avoir besoin d’être longtemps sollicitée pour s’embraser de plaisir.
Quelques va-et-vient de sa main sur ma queue, ma respiration s’emballe et je me sens perdre pied ; une nuée de papillons s’agite dans mon ventre, générant une montée de chaleur ...
... brûlante ; je m’entends pousser un grand râle de plaisir, à la mesure de l’orgasme de fou qui vient de me percuter de plein fouet ; j’essaie de le contenir, l’effort est tellement important que j’en ai mal aux poumons.
L’une après l’autre, mes giclées s’abattent sur le sol, se mélangeant aux siennes.
Lorsque je reviens à moi, je me rends compte que ses bisous dans mon cou ont cessé ; le bogoss a retiré ses bras de mon torse, et il est déjà en train de se décoller de moi.
Pourquoi être si pressé de partir ?
J’imagine que c’est à cause de l’appel de la clope, je m’attends donc à le voir s’approcher de la fenêtre pour s’en griller une. Il n’en est rien, le bogoss s’allonge à nouveau sur le lit. Puisque c’est ça, j’en profite : je me décale légèrement, de façon à pouvoir caler mon cou contre son flanc et poser ma tête sur ses abdos.
Jérém me laisse faire, une fois de plus. Contact magique avec sa peau douce et son muscle bien ferme, contact qui m’apporte la perception des mouvements de son diaphragme sous les abdos, la cadence de sa respiration, les battements de son cœur, ma tête bercée par ces simples mais précieuses vibrations de vie.
Mes narines m’apportent l’odeur de son petit jus chaud qui remonte de son sexe, je tourne légèrement la tête et du coin de l’œil je regarde les petits poils doux qui descendent vers sa queue presque au repos.
Je ferme ensuite les yeux et je me laisse bercer ; et je crois carrément rêver, ou même devenir fou, lorsque je sens sa ...