1. Un après-midi mouvementé


    Datte: 27/10/2018, Catégories: ffh, fplusag, inconnu, copains, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Oral fgode, préservati, pénétratio, fsodo, hdanus, fouetfesse, hff, Auteur: Tawara, Source: Revebebe

    ... situation, jure ses grands dieux que son couple est mort depuis des années, que sa femme et lui n’éprouvent plus rien l’un pour l’autre et qu’il va la quitter. Mais pas maintenant, car c’est compliqué et il faut attendre le moment approprié.
    
    — Bref, commente Vincent, pour ton cher et tendre, jamais est de loin le moment le plus approprié pour divorcer.
    — J’en ai bien peur et c’est pour cela que nous n’avons pas d’avenir ensemble. Mais le savoir n’empêche pas d’avoir mal, car il est tout de même plein de qualités.
    — Mais définitivement pas libre. Je comprends que ce soit difficile, je suis aussi passé par là, mais le fait déplaisant demeure : on ne peut pas obtenir de quelqu’un davantage de ce qu’il est prêt à donner, et essayer quand même ne peut que rendre tout le monde malheureux.
    — Je sais, c’est pour ça que je fais tout pour me détacher, mais ce n’est pas le genre de chose qui se fait en claquant des doigts. C’est pour ça que pour le moment, je me concentre sur des choses purement récréatives.
    — Bien dit ! reprend Vincent qui, conscient de ce que cet aveu a pu coûter à son amie, lui presse affectueusement le bras. Et puis, poursuit-il pour repartir sur un sujet plus léger, vois le bon côté des choses : ta vie sexuelle ne pourra qu’y gagner en diversité.
    — Alors là, tu es loin du compte. Figure-toi qu’il a rencontré sa femme au cap d’Agde, si tu vois ce que je veux dire. Et avec moi, c’est un sacré numéro !
    — Agde, rien que ça ! siffle l’avocat. La Mecque ...
    ... française du libertinage et de l’échangisme ! D’un seul coup, je me sens légèrement insignifiant, comparé à ton Adonis.
    
    La bouteille est aux trois quarts vide et la tête leur tourne légèrement. Carole se penche sur l’épaule du jeune homme et lui glisse, en passant doucement les doigts dans ses cheveux blonds, qu’effectivement il n’a pas toujours fait preuve d’une originalité extraordinaire de ce côté-là, mais que le classicisme a du bon aussi. Ses yeux brillent et l’alcool lui colore les joues. Vincent tourne la tête vers elle et pose ses lèvres sur les siennes. Il sent sur sa langue la texture du rouge à lèvres de son amie. Carole vient s’asseoir sur lui, face à face. Lui tenant la tête à deux mains, elle picore maintenant son visage de baisers, puis suit la ligne du cou, jusqu’à l’échancrure de la chemise. Rapidement, une main descend le long du torse du jeune homme, puis s’affaire à déboucler sa ceinture. La maîtresse de maison descend de sur son hôte et lui fait signe de se lever. Elle tire sur le pantalon, dévoilant un boxer noir, déformé par l’érection du jeune homme. À travers le tissu, Carole promène sa bouche sur la hampe de chair, la mordille légèrement. Le fragile rempart de tissu glisse bientôt vers les chevilles de Vincent. Sur la verge bien tendue, le réseau des veines bleutées forme un relief à la surface de la peau. Un peu de liquide séminal suinte sur le gland gorgé de sang. La femme le nettoie doucement de la pointe de la langue. Vincent gémit ; et ainsi ...
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