Descente au Paradis (5) - Histoires de Sexe

Descente au Paradis (5)

... une main entre les cuisses de la belle, et un doigt sur son clitoris tout gonflé : la belle vacille, et manque de se casser la figure, mais Marcel la rattrape, et l’allonge sur lui. Elle est sur le dos, à moitié sur son ventre, et lui baise le cou. La main de Suzanne a lâché prise, mais bizarrement, elle retrouve très rapidement son jouet, et recommence les va-et-vient, plus rapidement et énergiquement cette fois. Marcel écarte et replie les cuisses de la belle quadragénaire, et passe ses gros doigts boudinés sur sa toison, jouant avec les poils savamment ordonnés de la belle, dont le regard se perd dans la nuit noire. Se sentant proche de la fin, Marcel passe un doigt entre les grandes lèvres de Suzanne, et l’enfonce dans son vagin : la belle couine de plaisir, les jambes toutes tremblotantes levées en l’air.

Son bassin mime un mouvement de va-et-vient qui provoque un rire gras de Marcel, qui trempe son majeur dans son con, et attrape le sein droit de la belle avec son autre main, la pelotant sauvagement sans aucune retenue.

Les deux tourtereaux s’activent, accélèrent leur mouvement, et Suzanne, la moins entraînée, est la première à venir : d’un coup, son bassin se tend et un petit jet de cyprine s’échappe de sa vulve. Son bas-ventre se contracte, plusieurs fois, elle balance violemment sa tête en arrière, sur l’épaule de Marcel, qui ne peut s’empêcher de lui déposer un baiser sur la joue.

— Voilà, petite... Comme ça, c’est comme ça qu’on prend du bon temps. ...

... T’es trop tendue, p’tite...

— Non, je...

Profitant de son contre-coup, Marcel se relève, et attrape les deux genoux de Suzanne pour les replier, se retrouvant dans la même position que la veille. Cette fois, elle est à lui : le vieil homme passe son gland sur les lèvres intimes de la belle quadragénaire, frottant à l’entrée sous les gémissements de Suzanne. Il pose son gland sur la toison de la belle, y laissant un petit filet de liquide séminal. Dans un effort surhumain, Suzanne le supplie de ne pas la prendre.

— Non... Marcel...

Elle passe ses mains sur son ventre grassouillet, ses doigts passant entre ses poils : ses yeux roulent dans leurs orbites, et Marcel sent la belle se relâcher, se détendre. S’il la prend maintenant, et qu’elle n’est pas d’accord, il perd ses chances de retenter quoi que ce soit plus tard. En même temps, son désir est tellement fort : il est à un rien d’exploser. Forçant un peu sur les hanches, la pointe de son gland pénètre dans le con de la belle quadragénaire, qui hurle de jouissance : il se souvient de cette pression, de ce petit trou si chaud et si serré. Il a la sensation bien en tête. Sa queue lui fait mal : il ne l’a jamais vue si grosse, et il est dans un tel état que ses mains se contractent sur les cuisses de la jeune femme ; Suzanne attrape son nouveau jouet, toujours complètement à l’ouest, et recommence à tirer dessus. Il pose son regard sur son visage, et se stoppe.

La belle a les yeux bleus dans le vague, mais ceux-ci ...