Sophie à l'EHPAD (6)
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... Malawi et plus précieusement sa capitale Lilongwe, pays choisi, car Gabrielle parlait le bantou, langue du pays.
Le peu que je me souvenais de mes cours à la fac d’histoire était que le pays avait été colonisé depuis les années 1800 par les protestants britanniques et qu’il y avait un des plus grands lacs du continent.
Très au sud de l’Afrique, sa population avait subi un esclavage violent. C’est un des pays les plus pauvres au monde.
Je savais qu’il y avait des camps d’initiation sexuelle pour jeunes filles pré-pubères, bien qu’interdits depuis quelques années. Les ‘’hyènes’’ violaient les adolescentes dès leurs premières règles. C’était la tradition.
C’était à peu près tout ce que je connaissais du pays de mon second défi.
Le vol prévu en fin d’après-midi, ne partit qu’en début de soirée : problème de maintenance. Air Malawi n’était pas réputé pour ses performances en termes de sécurité aérienne.
D’après la documentation de bord, la compagnie possédait cinq avions, dont ce Boeing 737 dans lequel nous nous trouvions. L’avion s’était rempli rapidement, mais n’était pas complet. Sur les 200 places, à vue de nez, seulement les trois quarts devaient être occupées.
Il y avait trois sièges à droite et autant à gauche de l’allée centrale, une petite couverture et un casque audio étaient posés sur chacun d’eux.
Manque de chance : je n’étais pas côté hublot, mais côté couloir. Un homme était déjà assis sur la gauche à notre arrivée.
Gabrielle se ...
... présenta et parla très rapidement avec lui et décida que je devais m’asseoir entre lui et elle.
Tous deux parlaient la langue du pays de destination, autant vous dire qu’elle m’était complètement inconnue. Du coup, ils étaient constamment tournés vers moi, l’un et l’autre.
Gabrielle décida de m’attacher la ceinture de sécurité et releva le bas de ma robe en me faisant soulever les fesses pour le faire passer autour de ma taille, sous prétexte de ne pas la froisser.
— Le lin fait des plis rapidement et c’est difficile à repasser ensuite.
Elle le dit en français pour que je comprenne. Et en bantoue pour que l’homme interprète.
Je me disais qu’elle ne perdait pas de temps ! De fait, si j’écartais les jambes, je livrais une partir de mon intimité, mais Gabrielle ne l’exigea pas. Elle élargit seulement mes emmanchures pour donner un aperçu de mes seins au passager à mon côté.
Elle lui expliqua la raison de mon collier et interpréta ses propos soulignés par des gestes avec ses mains. Elle avait relevé l’accoudoir entre nous : son surpoids nécessitait de prendre un peu de mon espace. Mais également l’accoudoir entre l’homme noir et moi.
Elle avait opté pour un kitenge traditionnel très coloré et très large, sorte de sarong avec plein de replis dans lequel elle était très à l’aise.
Gabrielle m’apprit que l’homme ne parlait pas le français et qu’il me trouvait très belle et désirable.
Je devrais donc faire tout ce qu’il me demanderait et gare à moi si je ne ...