Sophie à l'EHPAD (6) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (6)

... ne pouvaient pas laisser de bois les deux autres hommes. Bien sûr, Gabrielle filmait, mais je voyais bien qu’elle se vengerait à un moment donné. Je satisfis cinq bites à la fois ! Ma bouche pompait, mes mains masturbaient, ma fente et mon anus bien remplis recevaient leur dose.

J’étais aux anges, mais ce n’était pas le modèle d’esclave que Gabrielle voulait.

Toujours était-il que je me faisais défoncer joyeusement et que j’y prenais un sacré plaisir et je n’étais pas la seule. Les hommes, une fois satisfaits, se restauraient. J’étais pleine de foutre et remise aux fers par Gabrielle qui durant tout le restant de la pêche me cravacha et me pénétra avec le bout plat de la cravache. J’avais pour ainsi dire, désobéi et elle me le faisait payer.

De retour au village, je fus libérée de mes chaînes, mais malheureusement nous ne restâmes pas avec les pêcheurs. Nous repartîmes, toujours sous les rires des enfants et les aboiements des chiens. J’étais nue aux pieds de Gabrielle, je la suçais sans arrêt. Elle n’arrivait pas à prendre son plaisir et j’étais endolorie de partout en rentrant au village. Elle me lia dos au totem et j’y passais la nuit. Punie et fouettée avant qu’elle ne parte dans sa case, je n’arrivais à m’endormir qu’au petit matin.

Le réveil fut matinal et arrosé : encore une fois, la femme qui s’occupait de moi me jeta deux seaux d’eau avant de me détacher. La température avait beau être agréable, ce type de réveil est plutôt agressif.

J’eus droit au ...

... lait de chèvre et à une galette de sorgho en guise de petit-déjeuner.

Elle me remit les tampons aux genoux et aux paumes des mains. Mon collier et ma lourde chaîne suivirent.

Direction la prairie pour ramasser de l’herbe, accompagnée de deux jeunes femmes de mon âge, armées elles aussi de baguettes et d’un sac en herbe tressée. À voir leurs gros seins, elles devaient avoir eu un ou des enfants.

À mon âge, en Europe, on est encore une adolescente, mais en Afrique, une mère accomplie. Monde étrange où les interdits changent en fonction des kilomètres.

Les très jeunes filles, à leurs premières règles, sont livrées à des hommes adultes (les hyènes) par leur famille pour les faire entrer dans le monde des femmes, alors que chez nous, c’est le moment où on les protège le plus des adultes.

À n’y rien comprendre !

Elles ne me laissèrent pas le temps d’arriver à l’endroit où je devais prendre l’herbe que je recevais déjà des coups sur les fesses. Je me méfie des filles, car elles sont généralement plus vicieuses que les garçons.

Peut-être enviaient-elles ma condition d’Occidentale ultra-gâtée ? ou faisaient-elles simplement ce que Gabrielle avait organisé ? Je ne le saurais jamais, mais elles étaient promptes à me faire sentir ce qu’était la vie de leurs ancêtres !

Arrivées dans une grande prairie herbeuse, elles sortirent de leurs sacs des faucilles aiguisées pour couper l’herbe. Mais au lieu de me montrer comment s’en servir, elles me renversèrent sur le dos et ...