1. Quelle soirée !


    Datte: 24/10/2018, Catégories: fh, couple, fépilée, caférestau, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral hdanus, Auteur: Broutchoux, Source: Revebebe

    Wahou ! Quelle soirée… Quel pied ! Quelles surprises et quelle femme magnifique j’ai là.
    
    Mais quand même, ses dernières phrases lourdes de sous-entendus…
    
    Commençons par le commencement.
    
    Ce soir, comme tous les vendredis je rentre du boulot ; grosse semaine, grosse journée. Une heure de route, je suis vanné. Voiture au garage, je rentre enfin chez nous. Et là j’entends mon épouse qui de l’étage me crie, visiblement très énervée :
    
    — Tu es enfin là ! Tu n’as pas oublié que nous sortons au cinéma ce soir ? Je suis prête depuis une heure, c’est toujours pareil.
    
    Bien sûr que j’ai oublié ; je pense même que ce n’était pas prévu. D’habitude, c’est le dimanche, le cinéma. Je fais bonne figure :
    
    — Mais non, ma belle, laisse-moi le temps de me rafraîchir un peu, de me changer et nous y allons.
    — Espèce de piètre menteur : la voiture est au garage ! Tu me prends pour une conne ?
    
    Effectivement, je n’ai pas été très malin sur coup-là.
    
    — Accorde-moi cinq minutes, ma beauté, et nous partons.
    
    Je fonce à la salle de bain. Douche rapide, boxer léger, pull léger et pantalon propre pour être présentable malgré la fatigue. Une boisson énergétique engloutie rapidement et me voilà parti au garage, à une vingtaine de mètres de la maison. Durant tout ce temps elle m’a évité, je ne l’ai pas croisée dans la maison, elle ne m’a pas adressé la moindre parole. La soirée « en amoureux » risque d’être tendue…
    
    Garé devant la porte ; elle sort de la maison. Elle a mis des ...
    ... talons, des escarpins rouges. Cela fait des années qu’elle n’en met plus, ça lui fait mal aux pieds. Du coup son mètre soixante-cinq prend dix centimètres, ses hanches roulent lorsqu’elle descend les trois marches jusqu’à la voiture. Elle porte son manteau court de laine blanche, bien fermé ; sa jupe rouge lui moule joliment ses jolies fesses. Dessous, j’aperçois un collant noir opaque. Je suis charmé. Elle s’assied sur le siège passager et N° 5 envahit l’espace. Elle est belle, finement maquillée ; un rouge à lèvres un peu marqué contraste avec sa peau mate.
    
    — Tu dors ou on y va ?
    
    Elle a le don de me remettre les idées en place, assez sèchement, malgré son numéro de séduction.
    
    Nous sommes confortablement assis dans la salle presque vide ; six spectateurs en tout : ma Zaïa que j’aime depuis 25 ans, un autre couple au premier rang, deux hommes en fond de salle et nous, comme toujours en milieu de salle, meilleure vue, meilleur son. Elle a choisi le film et le lieu ; c’est un cinéma d’art et essai, d’un confort années quatre-vingts, mais bien fréquenté.
    
    Dès les premières images, un homme et une femme nus se masturbent mutuellement, sensuellement. Les images sont crues, mais poétiques. Je suis scotché : c’estLove, de Gaspard Noé ! Elle qui à la maison me dit dès qu’il y a une scène d’amour un peu chaude « Tu regardes ça parce qu’il y a du cul, gros pervers ! » avant de changer de chaîne et que nous nous engueulions. Là, elle m’épate.
    
    Comme souvent au cinéma, je lui ...
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