Sous l'égide de Proust
Datte: 23/10/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
magasin,
Oral
préservati,
pénétratio,
Auteur: Eric, Source: Revebebe
... soit qu’elle se fût brusquement décidée, soit qu’elle n’eût pas confiance dans mes capacités à diriger la manœuvre, elle reprit aussitôt l’initiative : se penchant vers moi, elle me répondit dans un murmure, en allemand aussi, d’aller à son hôtel. La simplicité de sa proposition, les inflexions de cette langue me transportèrent et rien n’aurait pu à ce moment m’empêcher de la suivre.
Elle était venue à Paris quelques jours pour rendre visite à sa fille et à ses petits-enfants. Après son divorce, elle était retournée vivre en Allemagne. Mais le pays où elle avait fondé une famille lui manquait, et peut-être aussi l’attirait le souvenir des amants qu’elle y avait eus.
Dans la chambre plongée dans la pénombre, elle fit rapidement glisser sa robe. Elle dégrafa son soutien-gorge, libérant des seins lourds qu’elle soutint, dans un geste touchant, de sa main et de son avant-bras repliés. À de nombreux signes, son corps trahissait son âge.
Elle disparut dans la salle de bain pendant que je finissais de me déshabiller.
Quand elle revint, elle se glissa sous les draps, posant des préservatifs et un tube de gel sur la table de nuit. J’étais nu devant elle.
— Tu es bien conservé, me dit-elle.
J’avais en tout cas toujours fait du sport et surveillé ma ligne.
Je la rejoignais. Nous nous enlaçâmes tendrement. Sa peau était très douce, délicatement parfumée. Je la couvris de baisers mouillés qui la firent frémir. Nous nous embrassâmes longuement, mélangeant nos langues ...
... dans un baiser profond ; mon sexe avait pris de belles proportions. Tout en l’embrassant, je lui caressais doucement l’entrejambe, faisant glisser mes doigts humectés de salive le long de ses lèvres, effleurant son clitoris.
Comme elle restait un peu sèche, je portai ma tête à la hauteur de son mont de Vénus. Sous une toison clairsemée et grisonnante, des lèvres bien dessinées, un peu lâches. Je les humidifiai abondamment, les pris délicatement dans ma bouche, puis vins délicatement avec la pointe de la langue tourner autour du clitoris qui se dressa bientôt et se gonfla.
Je pris dans mes mains ses fortes fesses un peu flasques et soulevai son bassin, amenant l’orifice de son vagin à portée de langue. Elle écarta largement ses cuisses, m’invitant à m’introduire plus avant. Elle avait posé ses deux mains sur ma tête pour mieux en contrôler les mouvements.
Ma bouche était collée à sa vulve, suçant ses lèvres et son petit bouton. Les mouvements de ma langue lui arrachaient des gémissements, son souffle s’accélérait, je sentais son plaisir monter graduellement. Puis son ventre fut animé de soubresauts pendant que ses mains maintenaient fermement ma tête. Ses encouragements à continuer m’excitaient beaucoup et mon sexe s’était tendu.
Elle m’immobilisa brusquement.
— Viens ! me dit-elle enfin. Prends-moi !
J’avais enfilé un préservatif. Elle passa les mains sous ses genoux, tenant en l’air ses jambes écartées. Sa vulve était offerte et son vagin ouvert. Je l’agaçai ...