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Mauricette aime la quéquette.... (4)
Datte: 23/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory
... profiter de l’occasion de vous demander d’en passer aussi sur mes jambes et pieds. Comme en dit : Où il n’y a pas de gêne il n’y a pas de plaisir. — Parfaitement madame. Pour combler son désir je m’étais attardé sur ses jambes, puis sur ses pieds. Pas un millimètre carré n’avait été oublié. Mais comme ce n’était pas assez pour la chère Geneviève, la coquine poussa le vice de me demander un drôle de faveur : — N’oubliez pas mes fesses. — C’est que je vais gêner par votre peignoir. Répondais-je au tac au tac. — Que cela ne tienne, fit-elle en se l’enlevant d’un coup sec et l’envoyer valdinguer sur le sol. Ne portant pas de culotte, je fus frappais par la vision de ses fesses nues que le temps avait un peu fripées. Comme une pomme délaissait dans son panier. Il n’en fallait pas plus pour m’exciter. À faire que mon pénis prenait du volume dans mon caleçon. Il se trouva très vite coincé, dans une position qui me faisait extrêmement souffrir. J’aurais dans d’autres circonstances bien plongé ma main dans mon pantalon pour la déplacer, mais là, avec Geneviève toute proche s‘était mission impossible. D’ailleurs elle me suivait des yeux. Alors qu’elle courbait le dos, relevant son cul. M’exhibant de la sorte tout ce qu’elle avait à m’étaler. Entre ses fesses d’une blancheur de lait, sa raie s’étirait, parfaitement glabre. Son anus se devinait au creux du sillon. Pris d’un coup d’une ardeur pervers, je lui pris fermement ses fesses à pleines mains. Avec mes pouces, ...
... je pressais le gras des fesses. Le cul s’entrouvrit devant moi. La gorge sèche, je tirai davantage sur les côtés, écartant davantage les fesses. Faisant ainsi connaissance avec l’anus parfaitement mis en lumière. Rose foncé, orné de fronces très marquées. Très vite mes narines furent taquinées par une odeur forte de pisse, de sueurs anales. Qui était loin d’arranger l’état inconfortable où se trouvait ma verge dans mon caleçon. Comme tout m’était permis à cet instant, je pris l’initiative d’écarter davantage les fesses. Lui déformant par cette impulsion l’anus en largeur. Comme l’aurait fait un étrange rictus de bouche. Geneviève ne réagissait pas. D’une voix rendue sourde par l’excitation, je lui demandais : — Cela vous ira ? Sans qu‘une réponse ne sorte de sa bouche, elle pivota sur elle-même. M‘exhibant son côté face. Son ventre pendait un peu au-dessus d’un sexe lui aussi épilé. J’en restais bouche bée. Elle se saisit alors de mon poignet et le porta jusqu’à son sein droit tombant ; s‘étalant sur sa poitrine. — Là aussi... enfin si cela de vous ne contrarie pas. Dit-elle d’une voix changée. Un peu rauque. Tout en me regardant droit dans les yeux. Il me fallut que peu de temps de réflexion avant de m’exécuter. Lui massant un sein puis l’autre. Insistant bien autour des mamelons. Geneviève avait fermé les yeux. Se laissant aller sous la bienveillance de ma caresse. Puis je fus alerté par quelque chose qui se posa au centre de mon corps. Sur mon sexe pour ...