1. Mauricette aime la quéquette.... (4)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    ... besoin de quelque chose ? Avais-je bafouillé.
    
    — Je ne sais pas. Une verveine peut-être. Il y a ça dans le magasin.
    
    — Je vais voir s’il y en a dans la cuisine.
    
    — Sinon vous laissez tomber Alain.
    
    N’en trouvant pas dans la cuisine de la petite maison, j’allais jusqu’au manoir. Avec la certitude d’y en trouver sur place. Effectivement il y en avait. Je m’en saisis d’une poignée que je mis dans un bol, sous les yeux témoin de ma patronne.
    
    — Elle veut une verveine ?
    
    — Oui madame.
    
    — Pressez-vous de lui faire sa tisane parce que j’aurai besoin de vos services.
    
    Tiens ! Tiens ! L’envie d’être fourrée lui venait.
    
    — Oui madame, tout de suite.
    
    J’avais bien fait de prendre le comprimée, après réflexion. Le temps qu’il infuse il s’était bien passé cinq minutes. Je l’apportais alors jusqu’à la chambre. Sur un plateau avec une cuillère et un pot de miel. Elle me reçut en peignoir. Assise sur le rebord de son lit elle se passait de la crème sur ses genoux.
    
    — Oh excusez-moi. J’aurai dû frapper.
    
    — Mais non entrer mon cher ami. Il n’y a pas de mal. À votre âge vous savez comment est composée une femme ? Non, rassurez-moi.
    
    — Oui ! Fis-je en riant. Excuser mon retard, il n’y en avait pas ici. Alors je suis retourné jusqu’au manoir.
    
    — Mais il ne fallait pas.
    
    — Je pose le plateau sur la table de nuit.
    
    — Oui, merci Alain
    
    — Avez-vous besoin d’autre chose, madame ?
    
    — Oui j’aurai besoin d’aide mais je ne sais pas si je dois... vous importuner avec ...
    ... cela. J’aurai dû faire appel à ma nièce.
    
    — Dîtes toujours madame. J’improviserais après si c’est dans mes cordes ou pas.
    
    — J’aurai aimé que vous me passiez de la crème sur le dos. Mais si cela vous ennuie je comprendrais. Je ne vous en voudrai pas.
    
    — Mais cela ne m’ennuie aucunement, madame.
    
    — A la maison c’est Camille qui me passe la crème.
    
    Je m’étais saisi du flacon.
    
    — Où dois-je vous en passer madame.
    
    — Je vais m’allonger sur le lit. Cela sera plus simple pour vous.
    
    Elle s’installa sur le ventre dénudant ses épaules. Le flacon émit un petit bruit, quand je l’ouvris. Je posais une noix de crème et massais pour bien la faire pénétrer dans les spores comme elle me l‘avait si aimablement demandé.
    
    — Juste les épaules madame ?
    
    — Le dos aussi, Alain, s‘il vous plaît. Si cela ne vous dérange pas. Elle avait soupiré, avant d’ajouter :
    
    — C’est bon, ça détend.
    
    Alors que je m’affairais à remplir la tâche qui m‘était affectée, elle me parlait de tout et de rien. Mais aussi de mon massage.
    
    — Vous avez des doigts magiques. Je suis certaine que si je me laissais aller je m’endormirai.
    
    — Ceci est dit pour que je continue ?
    
    — Oui s’il vous plaît. Fit-elle en faisant glisser le peignoir jusqu’à la naissance de ses fesses. Prenant ainsi une position nonchalante. La tête tournée sur la joue droite. Posée sur ses bras croisés.
    
    — Votre main est d’une douceur incomparable. Une sensation exquise. Fit-elle.
    
    — Madame est trop bonne.
    
    — Cela serait ...
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