1. Une conversation surprise, et tout change


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fhh, couplus, cocus, inconnu, vacances, forêt, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, Partouze / Groupe confession, cocucont, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... en hochant de la tête. Je suppose que mon mari m’a proposée. Le cochon ! Nous faisons la paire, maintenant qu’il m’a entraînée dans ses délires.
    
    Quelques kilomètres que Laurent utilise pour me chauffer encore plus. Je m’occupe de mon clito, il glisse des doigts dans ma chatte et utilise la liqueur pour humidifier mon anus. A-t-il parlé de sodomie avec l’homme ? Encore une étape de franchie. Pourtant je m’inquiète de découvrir un sexe trop gros pour mon chemin de traverse.
    
    Enfin il se gare. Laurent m’entraîne. L’homme installe une couverture à même le sol, juste devant la voiture, là où les veilleuses créent une zone qui tranche avec le noir de la forêt.
    
    L’homme enlève son pantalon et son slip. Il s’allonge. Manifestement, il attend de moi que je m’occupe de sa verge. Une verge noire, bien sûr, mais dont l’extrémité est étonnamment rose. Elle repose sur son ventre. Je la devine en début d’érection.
    
    Une main m’invite à me pencher. Me voici à nouveau à genoux. Mais je décide de l’explorer de mes mains. Elle frémit aussitôt. J’en fais facilement le tour. Elle grossit et s’allonge avec une vigueur qui la transforme en bâton rigide.
    
    Pas si grosse. Pas si longue. Un peu le mélange de celle de Laurent et de mon amant au club. Un gland très marqué, rose foncé, et une tige très veinée. En une nuit, j’aurai augmenté de 300 % ma connaissance du sexe masculin.
    
    L’homme attend, et je sais que Laurent aussi. Je me penche un peu plus et dépose un baiser sur la pointe. ...
    ... Je craignais une odeur ; j’en trouve une. Pas de parfum pour homme, mais une odeur de mâle viril. Pas une odeur de négligé, juste un peu forte. Mais elle ne me repousse pas. Au contraire, elle va très bien aux circonstances et à l’homme allongé. Je joue un peu avec sa bite. Toujours beaucoup de salive, mais pas de fantaisie. Juste l’indispensable. J’ai envie d’autre chose. J’ai envie d’une possession. Je veux le sentir en moi.
    
    L’homme me tend une capote que je me charge de dérouler. C’est un peu fastidieux. Il y a longtemps que je n’ai pas protégé la queue qui va me prendre.
    
    Voilà, elle brille du latex et je la garde verticale. Il me suffit de ramper un peu, d’enjamber les cuisses, et je me retrouve accroupie sur elle. Inutile de dire que ma fente l’accueille sans coup férir. Je m’étonne d’avoir encore cette envie alors que j’ai déjà joui plusieurs fois avec mes hommes.
    
    Toutes les femmes connaissent ce moment. En réalité, c’est une succession de sensations que la position permet de décomposer. Surtout si l’engin sur lequel elle va s’empaler est de proportion adéquate.
    
    D’abord le plaisir de frotter le gland tout au long de la fente, et en particulier s’en servir pour titiller le clito. Puis le diriger, délicatement retenu par deux doigts, afin que les lèvres intimes s’écartent. Déjà le plaisir est présent. Arrêter la progression un instant avant de fléchir les genoux un peu plus.
    
    Alors commence l’étrange sensation qu’un monstre avance et dilate tout sur son ...
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